Les derniers articles

 Le régime riches de Macron

(Chronique publiée dans La Semaine du Pays basque du 11 décembre 2021)

Figurez-vous qu’il y a quarante ans un de mes copains a gagné le gros lot du Loto, de l’ordre de dix millions de nos actuels euros. Sans doute parce que nous avions en commun d’avoir connu quelques années de pauvreté mordante, j’ai été l’un des rares à être informé de ce que Pierre nomme « son accident de parcours », c’est-à-dire LIRE LA SUITE

Ils nous surprendront toujours

Dans « Farce basque », le tome 5 des Aventures de Manzana et Patxaran, les deux policiers se retrouvent totalement à contre-emploi.

Vous imaginez le « rustique » Patxaran discutant d’art basque d’égal à égal avec l’adjoint à la Culture de Bayonne, Yves Ugalde ? Ou le très placide Manzana amoureux au point d’être dans l’impossibilité d’enquêter correctement ? Décidément dans cet épisode on va de surprise en surprise LIRE LA SUITE

La confiture des feignasses

(Chronique publiée dans La Semaine du Pays basque du 12 novembre 2021)

Seriez-vous prêt à confier à un inconnu tout ce qui se passe dans votre chambre à coucher ? Bien sûr que non ! Il en va de même au niveau des intentions de vote. La désarmante naïveté des sondeurs réside dans le fait qu’ils croient à la sincérité des personnes qu’ils interrogent. Même si on déplore souvent LIRE LA SUITE

Mais que fait la gauche?

(Chronique publiée dans La Semaine du Pays basque du 15 octobre 2021)

Marie est aide-soignante en Pays basque intérieur depuis moins d’un an. Elle visite chaque jour entre douze et quinze personnes, commence sa journée à 6 heures du matin et la finit à 20 heures passées. Sur son téléphone, une application lui donne son programme quotidien qui change sans arrêt. Alors quand elle se retrouve avec un trou entre deux clients LIRE LA SUITE

C’est la faute à Chazouillères

Devenu inutile dans une ville qui s’efforce de se remettre sur rails et de respecter les lois, Bisque, Bisque, Basque ! va suspendre pour l’instant ses publications. Mais le combat continue dans les Landes et le Pays basque avec ramdam6440.fr

Conseil municipal de la commune de Biarritz, le vendredi 18 décembre 2020.

Et soudain une lumineuse évidence. Lorsque Guillaume Barucq prend la parole, lundi soir, après 111 minutes de conseil municipal pour saluer le ministre des Finances Édouard Chazouillères et le féliciter pour un exposé qui « n’a jamais été aussi clair et limpide », tellement loin des péroraisons ampoulées et autosatisfaites de son prédécesseur

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LE DOCTEUR OUALAM EST PERDU

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Ces artistes qui ne nous déçoivent jamais

En 2020, le confinement a parfois donné des ailes aux politiques et occasionné une rude concurrence pour décrocher les tant convoités klaxons d’or de l’association RamDam 64-40.

Ce n’est pas parce que RamDam 64-40 n’a plus droit aux réunions publiques, que l’association citoyenne se tourne les pouces pour autant. Pour cette quatrième cérémonie de remise des klaxons aux élus ayant légèrement franchi la ligne jaune et des harpes pour ceux qui se sont distingué par leur sens de la vie publique, nous avons collecté tout le mois de décembre les votes de nos nombreux sympathisants avant d’établir ce palmarès tant attendu dans les Landes et les Pyrénées-Atlantiques.

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LE DOCTEUR OUALAM FAN DE CASTEX

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L’INTERVIEW (PRESQUE) IMAGINAIRE DE DIDIER BOROTRA :

« Nathalie qui ? »

– Didier Borotra, mais qu’est-ce que vous faites là à déambuler un 1er janvier dans les rues de Biarritz ? Et sans masque en plus !

– Hier soir, à la maison de retraite d’Arbonne, à l’occasion du réveillon de 18 heures, j’ai fait exprès d’embrasser toutes les pensionnaires les plus décaties, en espérant qu’il y en aurait bien une pour me refiler le Covid. Pour ma part, je sais que je ne risque rien car je suis increvable, mais si je pouvais refiler cette saloperie à tous les Biarrots que je déteste, dont vous, ça illuminerait ma nouvelle année.

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EN 2021, GARDEZ LE MORAL AVEC OUALAM

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UN NOËL DE RÊVE POUR LE DOCTEUR OUALAM

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Biarritz croit à nouveau au Père Noël

La mairie vient de prendre une sage décision en rendant son traîneau lumineux au Père Noël Robert Rabagny.

Savez-vous pourquoi les Biarrots sont les Français qui se font le moins de souci pour les prochaines fêtes de Noël ? Alors qu’il faut tirer au sort les cinq personnes qui partageront notre repas le 25 décembre, envisager de faire manger papy et mamie à la cuisine et pourquoi pas la grande-tante dans la salle de bains, les habitants de Biarritz vont pousser un vrai soupir de soulagement… LIRE LA SUITE

Déconfinez vos zygomatiques

Le duo infernal Patxaran et Manzana sera en dédicace dimanche 13 à Biarritz, samedi 19 à Hendaye et Bayonne, lundi 21 à Saint-Palais.

Si le projet de surfpark de Saint-Jean-de-luz semble bien prendre l’eau, celui imaginé par Gaiztoa dans l’Adour tourne à plein régime. Après une séance de dédicaces à Anglet samedi dernier, où des lecteurs sont parfois venus de loin pour nous dire avec quel plaisir ils retrouvaient le policier biarrot et son homologue bayonnais dans cette quatrième aventure, nous faisons escale à Biarritz dimanche 13 décembre à 15 heures à la maison… LIRE LA SUITE

LE DOCTEUR OUALAM EN PLEIN DILEMNE

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LE DOCTEUR OUALAM BROIE DU NOIR

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La mort d’un imposteur

Contrairement à un Chirac à qui on pouvait reconnaître certaines qualités, l’inventeur de la communication politique VGE avait tout faux, à commencer par sa particule.

Mais que c’est bon d’être vieux, le jour de la mort de Valéry Giscard d’Estaing et quelle rigolade en entendant des politiques et des journalistes réécrire une histoire que l’on a vécue en direct ! Car le défunt Giscard était tout sauf ce que l’on vient de vous raconter. « Président moderne, réformateur, défenseur de la cause des femmes », c’est fou comme les Elkabbach, Duhamel et autres commentateurs enamourés de l’époque peuvent avoir la mémoire sélective… LIRE LA SUITE

La parole à l’opposition

Comme promis, Bisque, Bisque, Basque! ouvrira tous les premiers du mois ses colonnes à l’opposition, limitée à 1000 signes dans le bulletin municipal. Pour cette première édition, seul Patrick Destizon a souhaité s’exprimer. Comme convenu, le texte n’a pas été retouché et les propos sont sous la seule responsabilité de son auteur.

Qui connaît Madame Arostéguy?

Par Patrick Destizon

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Le coup de pouce de Castex à Patxaran et Manzana

Le Premier ministre, en apprenant la sortie le 28 novembre du quatrième tome des aventures de Patxaran et Manzana, a décidé de rouvrir les libraires.

C’est un bon gars tout de même que ce Jean Castex ! Alors que la police est en plein divorce avec la population, il a compris que les aventures de Patxaran et Manzana étaient capables de réconcilier tous les Français. Découvrant que le quatrième tome devait paraître le 28 novembre, il a donc décidé de rouvrir les librairies le jour même. Merci, Monsieur le Premier ministre !… LIRE LA SUITE

LES MESSES BASSES DU DOCTEUR OUALAM

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Comment Veunac et Lafite viennent de perdre leur petit boulot à la Socomix

Encore un drame du chômage ! L’ancien duo, pas gêné par les dégâts commis pendant six ans, pensait pouvoir prendre l’air et éventuellement un peu de monnaie à L’Hôtel du Palais. Ils viennent de se faire retoquer.

Une chose est sûre : quand Veunac pouvait mettre un mois pour décider s’il est préférable de ranger les feuilles mortes côté face ou côté pile, Maïder Arostéguy se montre sacrément réactive et n’hésite pas à trancher dans le vif en quarante-huit heures. Reprenons donc la chronologie précise de cette nomination et dénomination comme censeurs de Michel Veunac et Guy Lafite à la Socomix, tandis que les imbéciles des réseaux sociaux se sont déchaînés en accusant « Bisque, Bisque, Basque ! »… LIRE LA SUITE

La proposition citoyenne de Bisque, Bisque, Basque !

Réduits à la portion congrue dans « Biarritz Magazine », les élus d’opposition de Biarritz pourront s’exprimer chaque mois confortablement dans ce blog.

Bisque, Bisque, Basque ! adore les contre-pieds. Patrick Destizon a sans doute été surpris de recevoir un SMS lui proposant, comme à tous les membres de l’opposition d’être hébergés tous les premiers du mois dans « Bisque, Bisque, Basque ! ». Et la liberté d’expression ne saurant être restreinte, l’élu aura même le droit d’écrire que je suis un imbécile qui n’a écrit que des bêtises à son sujet, sans craindre la moindre censure… LIRE LA SUITE

Barucq et Destizon manquent de caractères

Les droits de l’opposition ont été sérieusement malmenés lors du dernier conseil municipal.

Ce n’est pas parce qu’on s’est fait sérieusement talocher dans notre enfance que nous avons à notre tour taloché nos propres enfants. L’argumentation de Maïder Arostéguy, lors du conseil municipal du 18 novembre, répliquant à Guillaume Barucq et Patrick Destizon qu’ils n’auraient plus désormais que 1000 signes dans « Biarritz magazine » pour s’exprimer parce qu’il en avait toujours été ainsi à Biarritz, a créé un sérieux malaise parmi tous ceux qui avaient cru voir… LIRE LA SUITE

Arostéguy ressort Veunac du formol

La logique de rupture, c’était uniquement pour la campagne électorale. La nouvelle maire vient d’offrir à l’ancien un poste de censeur à la Socomix, ce qui n’est peut-être pas l’idée du siècle.

M’imaginez-vous bras dessus bras dessous avec Jean-Baptiste Aldigé pour aller voir un match de l’Aviron bayonnais ? Seriez-vous surpris si Jean-Benoît Saint-Cricq décidait d’offrir le gîte et le couvert à la SDF qui a tenté par trois fois d’incendier son domicile ? Me croiriez-vous si je vous dis que Veunac va bientôt se retrouver sur les genoux d’Arostéguy ? Biarritz est décidément une ville totalement imprévisible... LIRE LA SUITE

LE DOCTEUR OUALAM EST SANS PITIÉ

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LE DOCTEUR OUALAM SORT D’HIBERNATION

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Un Castex totalement Cressonisé

Inventeur de l’Absurdie totalitaire, le Premier ministre émarge à la catégorie des très vite oubliables, façon Édith Cresson ou Jean-Pierre Raffarin.

Que celui qui est capable d’écouter l’actuel Premier ministre plus de trente minutes sans ciller lève la main ! « Croque-mémés » comme le surnomment les habitants de Prades pour sa propension à embrasser tout ce qui bouge est certainement un brave homme, mais, avec sa façon de rouler des mirettes, de hocher la tête et d’articuler comme s’il avait abusé de l’eau ferrugineuse, le téléspectateur n’en peut plus de cette autoparodie de Premier ministre et n’a qu’une envie, hurler « Bourvil, sors de ce corps ! »… LIRE LA SUITE

Barucq si seul en ce conseil

Les lendemains qui déchantent, en politique, succèdent presque toujours aux alliances improbables. Pour avoir voulu faire du Borotra, « Docteur surf » en fait l’amère expérience.

Au soir du deuxième tour le 28 juin dernier, Guillaume Barucq, avec un réalisme certain quoique partiel, reconnaissait devant ses troupes avoir pris « une belle taule », mais donnait rendez-vous en 2026 à sa « formidable équipe » qui sera « prête et déterminée » pour la prochaine échéance électorale. On a connu plus visionnaire… Sans surprise en effet, Corine Martineau et Jean-Baptiste Dussausois, après les défections en septembre de Lysiann Brao et Brice Morin, viennent de décider à leur tour… LIRE LA SUITE

La mairie estime avoir tenu tous ses engagements

Suite à l’article « De candidate à maire, la virevolte de Maïder », la mairie a demandé un droit de réponse que Bisque, Bisque, Basque! s’empresse de publier.

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De candidate à maire, la virevolte de Maïder

En campagne, Arostéguy avait promis de « sanctuariser la zone verte littorale de la Milady ». Élue, elle a signé sans problème le permis de construire déposé par la Sagec.

Nul besoin de libations jusqu’au bout de la nuit, surtout en ces périodes de couvre-feu, pour que des commerçants vous avouent que « leur métier serait formidable s’il n’y avait les clients » ou que des élus reconnaissent que « s’asseoir régulièrement sur les promesses faites pendant la campagne électorale fait partie des fondamentaux du métier ». Sauf information contraire, ils sont les premiers cocus de la mandature Arostéguy et la façon dont plusieurs riverainsLIRE LA SUITE

C’est Le Palais ou le boulet ?

Dans ce conseil municipal de très bonne tenue, les points de vue étaient assez proches face à ce « dossier pourri » hérité de la précédente mandature.

Espérons que tous les anciens élus déçus qui geignent sur la fessée imméritée qu’ils ont subies lors des dernières élections municipales à Biarritz, ont eu la bonne idée de regarder le conseil municipal du 2 octobre. Hormis les nouveaux élus, ne se retrouvaient plus dans la salle du casino Bellevue que des opposants à l’acrobatique montageLIRE LA SUITE

 

Une Arostégaffe spontanée ou calculée ?

En évoquant « les punks à chien venus de l’Est », on peut se demander si le maire de Biarritz s’est raté ou a cherché à cajoler son électorat dans le sens du poil.

N’en déplaise à tous les chihuahuas des réseaux sociaux, toujours prêts à aboyer sur tout ce qui bouge sans jamais rien proposer de constructif, le début de mandat de Maïder Arostéguy et de son équipe est bon. Quand Michel Veunac, en 2014, faisait 158 fois le tour de son bureau avant de se décider à élaguer ou non un arbre, « Cheftaine Maïder » tient ses promesses de campagne et fonce. Création du marché Saint-Charles, aménagementsLIRE LA SUITE

Le renvoi d’ascenseur ne connaît pas la crise

Quand l’éditorialiste politique de Sud Ouest devient chroniqueur littéraire, le coup de cœur du jour ne doit pas grand-chose au hasard.

Président de l’association de la presse ministérielle depuis 2018, Bruno Dive est un acrobate hors-pair que j’ai pu admirer pendant seize ans au « Canard enchaîné ». Abonné à Sud Ouest, je pouvais lire le matin ses éditoriaux de centre-droit, bien conformes au lectorat du quotidien régional, puis l’après-midi relire la poignée d’échos qu’il offrait chaque lundi au « Canard », nettement plus épicés à gauche. La cuisine, c’est un artLIRE LA SUITE

Le pas de géant de RamDam 64-40

Réorganisation totale, nouveau blog, l’association citoyenne ne se l’est pas coulée douce pendant le confinement.

Et dire que certains ont passé leur temps à roupiller devant Netflix de mars à mai ! Privés du sel de leur existence, la vie publique, les membres de l’association citoyenne RamDam 64-40 ont mis à profit ce temps de réclusion forcée pour réfléchir et se réorganiser. De nouvelles recrues ont grossi les rangs de l’association et désormais les principales villes des Landes et Pyrénées-Atlantiques ont leur observateur averti qui va au contact des élus et signale tout ce qui lui semble un peu hors des clous. Reste l’impossibilité actuelle d’organiser des réunions publiquesLIRE LA SUITE

Barucq désormais presqu’à poil

C’était prévisible : Comme Saint-Cricq en 2008, le médecin-surfeur vient de se faire lâcher par deux de ses colistiers. Que vont faire maintenant ceux de droite ?

Le moins que l’on puisse dire, c’est que le principe de précaution n’est pas un vain mot pour les élus de l’opposition de la liste EHVS, Brice Morin et Lysiann Brao. Quand ils étaient petits, on leur recommandait certainement de tourner sept fois la langue dans leur bouche avant de parler. Cette fois, ils ont préféré la tourner 77 777 fois avant de prendre une décision. C’est donc quarante-deux jours après le dernier conseil municipal du 29 juilletLIRE LA SUITE

Le pied de nez d’Arostéguy à Aldigé

C’est en tribune… Serge Blanco que le maire de Biarritz a assisté au match d’ouverture contre l’USAP. Récit d’une semaine très tendue.

Manipuler c’est un art et visiblement le président du Biarritz Olympique a encore des progrès à faire, malgré un talent affirmé. En début de semaine, sous le sceau du secret, Jean-Baptiste Aldigé a annoncé à sa garde rapprochée qu’il n’allait pas envoyer d’invitation à Maïder Arostéguy pour le premier match de la saison et qu’il donnait l’ordre à la sécurité de l’empêcher de rentrer si elle s’avisait de venir par l’intermédiaire d’un sponsor. Et dans la foulée il aurait avoué qu’il « en avait plein le cul de Biarritz et qu’avec les Gave, ils allaient se casser ». Un propos à rapprocherLIRE LA SUITE

Intrépide et délicieuse Eugénie

Grâce à Caroline Lampre, on comprend enfin pourquoi l’épouse de Napoléon III a toujours été adorée des Biarrots.

Lorsque Napoléon III et Eugénie de Montijo jettent leur dévolu sur Biarritz en 1854, un an après leur mariage, on est loin, très loin de ces clichés empesés et monarchiques si chers à Stéphane Bern. Même si la fidélité n’est pas la préoccupation première de l’empereur, le couple est très amoureux et surtout encore jeune. Eugénie n’a que vingt-huit ans et à quarante-quatre ans son époux tient à faire bonne figure face à la femme qu’il admire. C’est sur la Grande plage, au milieu de la foule, que le couple se baigne sans façons, ce qui ne manque pas d’étonnerLIRE LA SUITE

C’est vraiment Jean-Bassine Aldigé

Malgré la présence du maire, le président du BO a multiplié les dérapages verbaux pendant la présentation des joueurs et découragé les supporters par son inaptitude à se comporter en président.

Lors de sa modeste carrière – une sélection avec Hong Kong, match interrompu au bout de quinze minutes -, Jean-Baptiste Aldigé faisait partie de ces rugbymen de l’arrière censés jouer du piano contrairement aux « mules » du pack. Nul doute en revanche depuis qu’il est président du BO qu’il est devenu déménageur de pianos et qu’il est aussi près de « l’intelligence situationnelle » des rugbymen si chère à Pierre Villepreux que Strasbourg l’est de Biarritz. Depuis quelques temps, l’horizon s’éclaircissait.LIRE LA SUITE

LE DOCTEUR OUALAM SE DÉMASQUE

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Les appliqués, les fumistes et le gros lourd

Ce deuxième conseil municipal sur le budget a donné lieu à des échanges fructueux. Malgré certaines absences discutables et un Destizon décidé à faire son intéressant.

Ôtez-moi d’un doute pour le cas où Alzheimer aurait fait une visite impromptue : la liste conduite au printemps par Nathalie Motsch s’appelait bien, avec une immodestie certaine, « Biarritz en a besoin » et non « Biarritz par-dessus la jambe » ? Hier soir, lors d’un conseil municipal de très belle tenue qui nous ferait presque oublier les errances et autres approximationsLIRE LA SUITE

L’ÉTÉ DU DOCTEUR OUALAM

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LE DOCTEUR OUALAM EN A RAS LE BAB

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Plutôt bluffante

Maïder Arostéguy a fait preuve de beaucoup d’autorité, et aussi de malice, pour conduire son premier conseil municipal.

Les vieux Biarrots qui ont connu Maïder Arostéguy enfant – on l’imagine très bien petite fille espiègle et pétulante comme elle le laisse encore paraître quand elle oublie de se contrôler – ont dû se frotter les yeux à plusieurs reprises en regardant leur nouvelle maire mener son premier conseil municipal avec la maestria d’un vieux briscard de la politique et se dire : « Elle a parcouru un sacré chemin, la petite ! ». Sans vouloir entacher en quoi que ce soit l’image de la nouvelle élueLIRE LA SUITE

LE DOCTEUR OUALAM REVISITE LES ÉLECTIONS

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Que la volonté des Biarrots soit faite…

Maïder Arostéguy doit sa belle victoire au fait de plaire beaucoup à ses concitoyens mais aussi et surtout à une stratégie très efficace.

Tous les « voileux » ayant disputé une régate savent bien que le choix du plus court chemin d’une bouée à une autre est la meilleure solution pour être distancé. En voile, comme en politique, il faut savoir jouer avec les courants, le gros temps et les dépressions, cacher à ses adversaires le plus longtemps possible la route choisie et à un moment ne plus barguigner, border les voiles et foncerLIRE LA SUITE

LE DOCTEUR OUALAM FAIT SON CINÉMA

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Barucq la joue « Plus belle la liste »

Parcours professionnels magnifiés, convictions fluctuantes, absence de démocratie interne, non-respect de l’humain : qu’est-ce qu’on rigole à Nouvelle vague !

S’il est une tradition bien ancrée à Biarritz, c’est celle de s’affranchir des règles de la vie publique ! Un peu comme l’incontournable accent marseillais et les galéjades dans « Plus belle la vie », les électeurs biarrots sont priés d’applaudir le folklore local : Bernard Marie qui confondait sa cave personnelle avec celle du Palais ; Didier Borotra qui invitait à tout va le gratin politique dans le palace local mais ne mentionnait jamais sur les factures les noms des bénéficiaires des largesses municipalesLIRE LA SUITE

 

Niaiseries biarrotes

Cabotinages, minauderies, flagorneries… Ce dernier conseil municipal a été à l’image de toute la mandature Veunac : consternant !

Tous ceux qui ont travaillé en entreprise, se sont retrouvés un jour ou l’autre invités au pot de départ en retraite d’un collègue unanimement décrié. Les circonstances et l’alcool aidant, on dit publiquement du bien du partant, et le salopard qui a pourri la vie des autres salariés pendant des décennies, rentre chez lui ragaillardi : « Finalement, tout le mondeLIRE LA SUITE

 

LES ADDITIONS DU DOCTEUR OUALAM !

LE DOCTEUR OUALAM  REGRETTE LE CONFINEMENT

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Les vertus du ménage à trois

En refusant une alliance logique qui rassurait les électeurs, Guillaume Barucq a sans doute compromis ses chances de devenir maire de Biarritz.

Ces temps-ci, que ce soit devant les caméras de France 3 ou face à la presse, lors de sa conférence de presse au phare de Biarritz le mardi 2 juin, Guillaume Barucq s’affirme furieusement monogame et répète à l’envi : « Je préfère un couple à deux qui fonctionne, qu’un ménage à trois qui dysfonctionne, ou à quatre, qui explose… » Si l’on peut comprendre la pruderie du très sage docteur à catogan, face aux exploits des « libertins » Destizon et Vial qui auront fréquenté tous les clubs échangistes disponibles sur Biarritz avant de tomber dans les bras de Saint-Cricq, il est dommageLIRE LA SUITE

Croquignol et Filochard font de la politique

Patrick Destizon et Louis Vial ont frappé à toutes les portes avant de tomber dans les bras de Saint-Cricq. Une Odyssée qui résume tellement les dérives politiques de la Ville.

L’Histoire aime les héros prêts à tout pour défendre leurs convictions. Il y a eu le général De Gaulle, le 18 juin 1940, pour refuser la défaite et huit décennies plus tard Patrick Destizon et Louis Vial qui ont décidé d’offrir leurs cerveaux à la ville de Biarritz et de sauver la campagne électorale de l’infinie médiocrité qui la menaçait. Et quand les lecteurs de Bisque, Bisque, Basque ! vont apprendre l’énergie, la constance et la détermination montrées par Croquignol-Destizon et Filochard-Vial, ils ne pourront être que béats d’admiration devant tant d’altruisme et de générosité.LIRE LA SUITE

 

EN VOITURE AVEC LE DOCTEUR OUALAM !

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Barucq tournicote et Arostéguy rigole

Pendant que Maïder Arostéguy repart avec sa liste du premier tour, Guillaume Barucq discute avec tout le monde et oublie le message des électeurs.

Le sport et la politique ont beaucoup de similitudes : quand Serge Blanco, unanimement reconnu comme le meilleur arrière du monde, jouait les phases qualificatives avec son cher Biarritz Olympique et perdait le match, il ne proposait pas ses services au Stade Toulousain pour jouer le dimanche suivant et restait à la maison pour suivre la fin de la compétition. Ce n’est pas faire injure à Éric Bonnamy ou Laurent Ortiz que d’affirmer que s’ils étaient les meilleurs élus du monde, quelqu’un s’en serait sans doute aperçu pendant cette mandature.LIRE LA SUITE

Les Charentes n’ont pas de piment mais des idées

Pour relancer la machine économique, la Charente et la Charente-Maritime vont offrir des bons de cent euros aux touristes.

Quelle période cruelle pour les politiques locaux qui se montrent souvent bien incapables d’avoir la moindre idée originale à proposer à une époque où la moitié des commerces est par terre dans les zones touristiques ! Tandis que certains en sont encore à mesurer l’espace entre les tables à l’aide d’un mètre ruban, d’autres innovent carrément avec des décisions totalement inédites qui démontrent combien la capacité d’imagination.LIRE LA SUITE

LA SUPPLIQUE DU DOCTEUR OUALAM

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Le plan de relance pour Biarritz de Jacques-André Schneck

Jacques-André Schneck ne fera probablement pas partie du prochain conseil municipal puisqu’il a pris ses distances avec Nathalie Motsch. Ce qui ne l’empêche pas de rester passionné par la vie publique et inquiet pour l’avenir de Biarritz. Sans une politique très volontariste de la prochaine équipe municipale, il est persuadé que nombre de commerces n’arriveront pas à se relever. Alors que débuteLIRE LA SUITE

 

Une prime à la créativité

Sauf retour de la pandémie, on en aura fini le 28 juin prochain avec les municipales. Aux candidats maintenant de montrer qu’ils ont imagination et talent.

Parfois les politiques sont tellement « hors sol » qu’ils en deviennent burlesques. Pendant les deux mois de confinement obligatoire, l’ensemble du pays, du petit producteur au chef d’entreprise en passant par le télétravailleur, a été contraint à se réinventer, à innover, à se projeter, mais il ne faudrait pas modifier en quoi que ce soit les petites habitudes de nos chers élusLIRE LA SUITE

 

LE DOCTEUR OUALAM SE REMET AU SURF

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Ce grand étourdi de Peio Claverie

L’adjoint à la vie associative continue à toucher ses indemnités d’adjoint à Biarritz, alors qu’il est élu depuis le 15 mars à Saint-Martin d’Arosa. Une distraction, vraiment ?

Ah on l’imagine bien l’instituteur Peio Claverie, œil noir et sourcil en bataille, prodiguant un cours d’instruction civique à ses élèves en leur vantant la noblesse et le désintéressement du poste d’élu ! L’homme en effet adore donner des leçons de vertu républicaine à la terre entière et, si on ne l’avait vu à l’œuvre pendant cette mandature, il serait presque convaincant. Le problème, c’est qu’entre ce que dit et ce que fait Peio Claverie, il y a parfoisLIRE LA SUITE

LE DOCTEUR OUALAM DÉCONFINE GRAVE

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Sylvie Claracq ou l’inexistence faite élue

La benjamine du conseil municipal, qui s’est distinguée pendant six ans par son absence d’idées, multiplie les bourdes depuis qu’elle est numéro deux de la liste Veunac. Décidément, qui se ressemble s’assemble…

Voix inconnue au téléphone, lundi 11 mai vers midi : « Mais pourquoi vous me persécutez ainsi ? » On m’avait prévenu que Sylvie Claracq adorait jouer les victimes, mais je ne m’attendais pas à une telle réaction, après avoir écrit que Michel Veunac se démenait beaucoup pour recaser la numéro deux de sa liste, ce que nombre de témoins confirmeront. « Vous ne vous rendez pas compte du tort que vous me faites, alors que je suis en couple, en écrivant que je suis proche du fils de Michel Veunac ». Me demandant un moment si je ne suis pas victime d’un canularLIRE LA SUITE

 

Un curé qui se fait sonner les cloches

Pour résoudre un problème avec le clergé, quelques bouteilles valent parfois beaucoup mieux qu’un long discours.

Mon grand-père avait une façon bien à lui de diriger sa commune. Il savait que la gentillesse de son épouse n’avait d’égale que son incapacité à tenir sa langue.  Aussi, lorsque qu’il avait en tant que maire quelque message non-officiel à faire passer à un de ses administrés, il entonnait en direction de sa femme sa formule magique préférée : « Surtout, tu ne le répètes pas ! ». Présent toutes les vacances scolaires, je connaissais parfaitement les habitants du village et j’arrivais à cet âge enchantéLIRE LA SUITE

Confiné ou déconfiné, Veunac reste d’une prodigieuse inefficacité

Pendant les deux mois de confinement, l’encore maire de Biarritz ne s’est soucié que de ses petites affaires en ignorant complètement les besoins de la population.

Parfois un compte Twitter en dit très long sur la personnalité d’un homme public. Si jusqu’au 15 mars, malgré sa préférence très nette pour le Minitel, Notre-Michel-Rien-qu’à-nous-que-le-monde-entier-nous-envie s’était fendu de quelques Tweets, histoire de convaincre l’électeur biarrot que deux barils de Veunac valent mieux qu’un baril de candidat ordinaire, depuis le 17 mars et le début du confinement, il n’éprouve plus le besoin d’écrire. Dans une période exceptionnelle qui aurait dû mettre en surchauffe le ciboulot de n’importe quel éluLIRE LA SUITE

LE DOCTEUR OUALAM EN A SA CLAQUE DE VEUNAC

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Ne pas confondre un anar et un nanar

Les fils, fort heureusement, ne sont pas responsables de leur père. Mais il faut beaucoup de temps pour arriver à le comprendre.

La pire chose qui aurait pu arriver à mon père aurait été de passer inaperçu, ce qui ne risquait pas de se produire. Par une curieuse inversion des rôles, je me suis donc retrouvé à de nombreuses reprises pendant l’enfance à espérer que mon père n’allait pas me donner quelque nouvelle occasion de rougir. En effet, au volant de sa voiture un dimanche de pluie, il était tout à fait capable de guetter à la sortie de la cathédrale d’Angoulême les paroissiennes en fourrure – « Tu vas voir, on va bien se marrer ! »LIRE LA SUITE

 

Bibi Fricotin « boit l’obstacle »

Iconoclaste rédacteur en chef du « Panier à salades » et accessoirement président de RamDam 64-40, Michel Gellato nous adresse un souvenir d’enfance.

Je ne me souviens plus de ce que faisait Bibi Fricotin dans ce désert, mais l’expression « boit l’obstacle », que l’on est obligé de prononcer en ondoyant des lèvres, sonnait à mes oreilles comme une formule magique. Je m’épanouissais devant cette couverture relisant sans cesse « boit l’obstacle » « boit l’obstacle ». J’avais complètement déconnecté ce « boit l’obstacle » des aventures de Bibi et de son copain africain Razibus Zouzou.  L’expression inspirait une aventure à elle toute seule, tout comme  le nom de « Shéhérazade », l’héroïne des mille et une nuitsLIRE LA SUITE

 

LE DOCTEUR OUALAM GARDE SES DISTANCES

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Tarabiscoté, donc costaud

Quelle désillusion, j’ai longtemps cru qu’un dessin tarabiscoté, c’est un dessin remarquable et musclé !

Une des rares photos de mon enfance me permet de dater les faits avec précision. En juillet 1954, dix mois après ma naissance, mon grand-père et son frère labouraient encore leurs terres avec des bœufs. Si un tracteur Pony rouge améliora ensuite la vie de la ferme, les travaux de force restaient monnaie courante quand on faisait de la polyculture. Entre le pailler à édifier au moment des moissons, les sacs de pommes de terre à « charroyer » comme on disait chez moi ou la hotte à porter pendant les vendangesLIRE LA SUITE

T’as la baraka, mon gars !

À force d’entendre dire que sa famille bénéficie d’une chance inouïe, on finit par y croire…

Des garçons et uniquement des garçons à toutes les générations ! Nous étions deux frères. Mon père était fils unique. Mon grand-père avait un frère qui cultivait avec lui la ferme familiale de La Chapelle-des-Pots. Et mon arrière-grand-père pour sa part partageait le toit familial avec… six frères ! Anecdote extraordinaire, les sept frères Viollier qui vivaient à cette époque à Bourg-sous-La-Roche en Vendée, avaient participé à la guerre de 14, puisqu’ils avaient entre dix-huit et trente-cinq ansLIRE LA SUITE

Rabibocher n’a rien d’allemand

Quand le rabbin se réconcilie après-guerre avec le « Boche », les deux se rabibochent. Logique, non ?

Au milieu des années soixante, la guerre était encore très présente dans les discussions familiales et au moment des élections municipales. Dans notre village charentais de Chasseneuil-sur-Bonnieure, l’attitude de chacun pendant ces années sombres était minutieusement soupesée et il n’était pas rare d’entendre des accusations publiques lors des réunions électorales comme « Ta quincaillerie, on sait comment tu l’as montée ! »LIRE LA SUITE

 

LE DOCTEUR OUALAM RÊVE DE VACANCES

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Hâte de lutiner !

La mine gourmande de mes grands-parents utilisant ce mot, me rendait impatient d’être plus âgé pour partager les jeux des petits lutins.

Le climat familial entre mes parents n’étant pas toujours au beau fixe, je passais toutes mes vacances scolaires chez mes grands-parents paternels et, si cela avait été possible, je serais bien resté définitivement à La Chapelle-des-Pots, ce petit village rural situé juste à côté de Saintes, où la vie était si simple pour l’enfant que j’étais. Alors qu’elle était tellement compliquée dans ma famille ! Avec le recul, je mesure d’ailleurs mieuxLIRE LA SUITE

Le premier tour doit être sacralisé

Pour des raisons éthiques, financières et de bon sens, le vote du premier tour des élections municipales ne doit à aucun prix être annulé.

Je les entends déjà ces Cassandre anonymes des réseaux sociaux affirmer que Bisque, Bisque, Basque ! après avoir été le porte-parole de Nathalie Motsch, de Max Brisson ou de Guillaume Barucq – J’en oublie sûrement ! – est devenu celui de Maïder Arostéguy. Mais ce propos se veut plus vaste que les limites de Biarritz et n’a que faire de considérations électoralistes. Même si le Conseil d’État évoque la nécessité d’un « délai raisonnable » entre les deux tours et n’excédant pas trois moisLIRE LA SUITE

 

15 mars 2020, le jour de la libération de Biarritz

Le confinement a fait oublier à quel point le message des électeurs biarrots a été clair. Un virage historique se dessine pour la Ville.

La rumeur affirme – Comment la vérifier en ces temps de confinement ? – que Michel Veunac, dès qu’il a un peu de temps libre, branche son magnétoscope à cassettes pour voir et revoir « Les Bronzés font du ski ». Et quand arrive la réplique culte de Michel Blanc, alias Jean-Claude Dusse dans le film, « On ne sait jamais. Sur un malentendu, ça peut marcher ! », tout le monde est prié de faire silence dans son salon, alors que Notre-encore-maire-que la -Terre-entière-nous envie affiche un sourire extatiqueLIRE LA SUITE

 

Caparaçonné et prêt pour l’école

On peut être professeur de français et se faire prendre en défaut.

Mon père cultivait sa singularité aussi méthodiquement que d’autres leur carré de salades et ne voyait vraiment pas où était le problème de nous offrir nos cadeaux de Noël en novembre. Agnostique convaincu, il ne voulait surtout pas que ses enfants croient au Père Noël une fois devenus adultes. Début octobre, notre géniteur arrivait donc avec le catalogue « Spécial jouets » édité par Les Galeries Lafayette et le tendait à mon jeune frère et à moi. « Cette année, le budget sera de 50 Francs pour chacun de vous » LIRE LA SUITE

 

LE DOCTEUR OUALAM CRAINT PLUS LE MEDEF QUE LE CONFINEMENT

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L’arrêté bancal de Veunac fait marrer la France entière

Le maire de Biarritz a voulu jouer au con finement. Résultat, il a provoqué un éclat de rire général avec son interdiction de s’asseoir sur les bancs !

Quand on est maire sortant, qu’on finit cinquième au premier tour avec 12,21% des suffrages exprimés, on rase en général les murs. Mais ce n’est pas le cas de Notre-encore-maire-que le monde entier nous envie. Peureusement confiné chez lui pour cause de grand âge, tandis que le directeur des services, Christophe Landrin, se tape tout le travail à la mairie (On ne sait pas s’ils ont échangé leurs émoluments), Michel VeunacLIRE LA SUITE

Grand homme incontinent

Ce n’est qu’adolescent que j’ai réalisé que lorsqu’on me parlait d’un homme devenu « Un continent », je commettais un contresens absolu.

Ma grand-mère maternelle n’avait pas pour habitude de m’emmener chez ses amies. J’ignore donc absolument pourquoi ce jour-là elle a dérogé à la règle et pourquoi ma mère l’accompagnait. Nous sommes arrivés dans un appartement vieillot du centre d’Angoulême et j’ai rencontré pour la première fois deux personnes qui m’ont paru très âgées du haut de mes huit ans. Sur le chemin qui menait à cet appartement, ma grand-mèreLIRE LA SUITE

 

Ta gueule, Mélenchon !

La France Insoumise serait bien inspirée de confiner et bâillonner son leader.

C’est un peu comme si La Marquise de Vérité, la délicieuse épistolaire de La Semaine du Pays basque, téléphonait à une famille durement éprouvée par l’épidémie actuelle pour se plaindre de la taille de son « trop grand » jardin et de la difficulté à trouver des gens pour s’en occuper. Le rôle de l’opposition est de critiquer la majorité en place et on n’a jamais rien trouvé de mieux pour faire fonctionner la démocratie. Les idées de la France InsoumiseLIRE LA SUITE

 

DOCTEUR OUALAM, LE ROI DU CONFINEMENT

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Sans contact mais pas sans tact

Notre combat contre le virus doit passer par l’humour et une plus grande attention portée aux autres.

Autant notre génération s’imaginait finir ses jours en se prenant une bombe atomique sur le coin du portrait, autant elle n’envisageait pas se retrouver un jour confinée en même temps que trois milliards de Terriens, jouant à chat avec un ennemi invisible et microscopique. Et s’il n’y avait ces milliers de morts, la crainte de perdre un être cher ou d’être soi-même durement éprouvé, cette période serait fascinante à observer pour les vieux soixante-huitards que nous sommes. À l’époque, nous taguions les murs avec des slogans comme « On arrête tout et on réfléchit »LIRE LA SUITE

LE COUP DE GRÂCE DU DOCTEUR OUALAM

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Mission presque accomplie

Avec le retrait quasi-certain de Michel Veunac de la vie publique, Bisque Bisque Basque ! va enfin pouvoir se consacrer à autre chose.

Prononcer son oraison funèbre de son vivant n’est pas chose courante. Dimanche soir, dans le bureau de vote de la mairie, Michel Veunac, sidéré par le résultat qui prend forme sous ses yeux et cette cinquième place avec 12,22% des suffrages exprimés, en oublie la présence à ses côtés de la journaliste Raphaëlle Gourin et murmure à voix haute : « Pour une gamelle, c’est une gamelle ! » Un propos révélateur pour un homme dont toute la carrière politique a été marquée par une « chasse à la gamelle » effrénéeLIRE LA SUITE

LA VIE DU DOCTEUR OUALAM BASCULE

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On ne remerciera jamais assez Veunac

Ce mandat à la médiocrité abyssale, avec ses attentats démocratiques à répétition et la débandade de la majorité, aura au moins permis de faire éclore des talents. Biarritz est prête à tourner la page.

Une fois n’est pas coutume, Bisque, Bisque, Basque ! va faire dans la tendresse au lieu de l’ironie lourde. Ils sont 245 dimanche qui vont se confronter à l’une des activités humaines les plus ingrates qui soit, la politique, en se présentant aux suffrages de leurs concitoyens. Si l’on ajoute les membres des comités de soutien, et les proches, ce sont près de cinq cents personnes qui sont concernées à Biarritz par le scrutin municipal. Et à l’exception d’une vingtaine de professionnels de la vie publiqueLIRE LA SUITE

 

LA BAISSE DU CAC 40 PRÉOCCUPE LE DOCTEUR OUALAM

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Ce trio qui n’engendre pas la mélancolie

Ils sont trois à diriger la liste Euskal Herrian Vert et Solidaire et visiblement, ce fonctionnement ne pose pas le moindre problème.

Lorsqu’on demande à Lysiann Brao, Brice Morin et Mathieu Accoh à partir de quel score ils feront la fête le 15 mars au soir, le trio éclate de rire : « On fera la fête quoiqu’il arrive ». Dans leur permanence de l’avenue du président Kennedy, les trois militants, bien que venus d’horizons politiques assez éloignés, ont visiblement trouvé une façon de réfléchir ensemble harmonieuse. Pour Bisque, Bisque, Basque ! ils ont accepté de répondre sans détours à toutes les questionsLIRE LA SUITE

L’ÉPIDÉMIE INSPIRE LE DOCTEUR OUALAM

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Veunac, gonflé de chez gonflé

Les promesses n’engagent que les électeurs imbéciles qui y croient. Le maire sortant en a fait une fois de plus la démonstration avec autorité.

Michel Veunac qui n’avait pas pu défendre ses chances lors du débat de France 3 tant il était aphone, avait retrouvé toute sa superbe lors de l’excellent débat de Médiabask qui est consultable en ligne depuis jeudi. Et qui dit parole intelligible, dit aussi capacité à mentir avec un aplomb absolu. Treize minutes ne s’étaient pas écoulées, que le maire sortant de Biarritz affirmait, avec le culot dont il est capable : « Un bon bilan c’est un mandatLIRE LA SUITE

Ce 12 février qui fracture Biarritz

Les pressions subies par les élus lors du dernier conseil municipal ne semblent pas poser problème à trois des sept candidats… Mais elles posent problème aux électeurs.

Il n’y a, selon le dictionnaire Larousse, qu’un petit tiret d’écart entre le maître chanteur et le maître-chanteur, mais il fait toute la différence. Le premier, au sommet de sa maîtrise musicale, va vous faire aimer l’art lyrique. Le second, qui est aussi incontestablement un artiste en son genre, va vous apprivoiser pour mieux vous dévorer, grignotant un doigt, puis la main, puis le bras avant que vous ne compreniez que vous êtesLIRE LA SUITE

 

COVID 19 : LES SOLUTIONS DU DOCTEUR OUALAM

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Journal d’un buté de campagne (7)

L’esclandre de Rabagny à la mairie

L’ancien animateur n’a pas digéré la façon dont il a été viré de la mairie et il l’a fait savoir en dénonçant les « privilèges » dont a bénéficié le fils de la directrice des ressources humaines.

Vendredi matin, lorsque Robert Rabagny est entré dans la mairie avec une rose rouge à la main, tout le petit personnel de la mairie qui le connaît bien et lui garde beaucoup d’affection, s’est demandé ce qu’il avait en tête. Cette fleur était destinée à la directrice des Ressources Humaines de la Ville, Patricia Dumont, qui partait en retraite. Après l’avoir longuement cherchée, Robert a fini par dénicher l’intéressée dans les bureaux de la réglementation et a pu lui remettre son cadeau devant de nombreux témoins riant sous cape. « Oh, Robert, je suis très touchéeLIRE LA SUITE

Ce trublion qui fait l’unanimité

Contrairement à sa blonde voisine, dont la candidature était vouée à l’échec, Karim Guerdane a commencé par avoir un programme avant de se décider à se présenter. Et tous ses rivaux reconnaissent qu’il a vu juste.

Petite piqûre de rappel à tous ceux qui ne circulent que dans le périmètre doré de Biarritz : Plus de 3 000 Biarrots vivent en dessous du seuil de pauvreté, soit 13% des habitants de cette ville. Ce chiffre, tout proche de la moyenne nationale qui est à 14,7% a été évoqué lors du débat télévisé de France 3 et il ne doit plus sortir de l’esprit de tous les candidats qui seraient tentés de s’imaginer que Biarritz est une ville d’ultra-privilégiés. Karim Guerdane a été le premier à se rendre compte que l’environnement, le débat sur les eaux de baignade ou le tourisme de masse, sujets municipaux majeurs qui méritent réflexion, ne devraient pas faire oublier tous les laissés pour compte de la Macronie triomphanteLIRE LA SUITE

 

Le vilain rapport à l’argent de Veunac

À la fin du premier conseil municipal de sa mandature, Michel Veunac a emprunté 6 500 euros à sept de ses adjoints qui attendent toujours leur remboursement. Une distraction, sans doute.

Ce n’est pas un hasard si Michel Veunac est fan d’Enrico Macias et en particulier de sa chanson : « Donnez-moi, donnez-moi, Dieu vous le rendra ». Parfois des mimiques en disent beaucoup plus qu’un long discours. Si vous interrogez ses anciens colistiers sur le rapport à l’argent de Michel Veunac, vous aurez droit à tout une gamme de soupirs éloquents, sourires crispés ou sourcils froncés. En effet nombre d’entre eux ont le sentiment de s’être fait arnaquer en beauté par le maire de Biarritz et n’ont pas digéré sa façon de fuir depuis six ans les questions qui fâchentLIRE LA SUITE

 

BIZI PERPLEXE SELON LE DOCTEUR OUALAM

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Journal d’un buté de campagne (6)

Motsch, catégorique : « Ni Veunac, ni Arostéguy »

L’ex-adjointe à l’Urbanisme ne louvoie pas sur son positionnement au second tour tandis que la liste Veunac se fait copieusement arroser et que Saint-Cricq prépare un grand coup de balai.

C’est un petit jeu délicieux que nous vous conseillons vivement de pratiquer pendant les dernières semaines de cette campagne électorale. Allez assister à la réunion publique d’un des huit candidats et, la bouche en cœur, demandez-lui ce qui se passera s’il n’arrive pas en tête au soir du premier tour. Pudeur de rosière au moment de passer à l’acte, mouvement de menton martial, grand moment de solitude, vous aurez droit à toutes les postures humaines traduisant l’embarras, alors que les citoyensLIRE LA SUITE

Journal d’un buté de campagne (5)

Veunac en lévitation, Aldigé en élucubration

Michel Veunac est désormais persuadé qu’il va gagner l’élection, tandis que Jean-Baptiste Aldigé se distingue une fois de plus.

Les pieds de Michel Veunac ne touchaient plus terre, mercredi soir au sortir du conseil municipal après le vote, sans grande difficulté, des trois délibérations « consultatives » en faveur du BO. Et comme Mimi-La-Malice n’a même pas la reconnaissance du bulletin de vote, il ne se montrait pas tendre envers les Arostéguy, Tardits ou Saint-Cricq qui avaient pourtant voté comme le maire : « Ils veulent me piquer la place, mais il faudrait d’abord qu’ils apprennent à faire de la politique ». Et donc à s’abstenirLIRE LA SUITE

 

LE DOCTEUR OUALAM DÉTESTE LES ZOOS DE BAIGNADE

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Le degré zéro de la démocratie

Le dernier conseil municipal présidé par Michel Veunac, du moins faut-il l’espérer, aura été sans conteste possible le pire de tous.

Bénédicte Darrigade est une élue discrète mais pragmatique qui, après avoir envisagé de figurer sur la liste de Didier Guillaume, va quitter la vie publique sur la pointe des pieds. Elle a voté hier soir pour les trois délibérations en faveur du BO, ce qui n’était pas la meilleure idée du monde tant les dés étaient pipés, mais a parfaitement résumé l’ambiance de ce dernier conseil municipal de la mandature Veunac qui aurait dû être léger et apaisant et s’est révélé consternant : « Le sentiment des BiarrotsLIRE LA SUITE

 

Journal d’un buté de campagne (4)

Un hold-up signé Veunac

Une délibération scandaleuse à cinq semaines de la fin du mandat, une pétition à signer d’urgence, des bagarres de cour d’école, ainsi va la vie électorale à Biarritz.

Trouvez-moi en France un maire, un seul, qui comme Michel Veunac soit en train d’engager sa ville à hauteur de 12 millions d’euros à cinq semaines de la fin de son mandat et je vous promets que Bisque, Bisque, Basque ! cessera de dire du mal du premier magistrat de Biarritz pour se consacrer à la rédaction d’un ouvrage en vingt-cinq tomes intitulé « Les très riches heures du duc Michel de Biarritz comblant de bienfaits sa population en pâmoison devant lui »LIRE LA SUITE

 

LE DOCTEUR OUALAM EN PLEIN DILEMME

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Journal d’un buté de campagne (3)

Les cocus au balcon… puis au téléphon

Un ministre aux colistiers absents, des « sans liste » qui cherchent fortune ailleurs, un Veunac KO debout, une Maïder prudente, récit d’une folle semaine biarrote.

DÉNI TOTAL– Mercredi soir 29 janvier, après l’annonce du retrait des deux ministres, les journalistes locaux se sont précipités pour interviewer les colistiers de Didier Guillaume. Ces derniers, malgré l’information relayée par tous les médias, soutenaient que leur héros allait démissionner dès le lendemain du ministère de l’Agriculture. Pour preuve « il a prévu une réunion publique ce vendredi » Las, le jeudi a permis de constaterLIRE LA SUITE

LE DOCTEUR OUALAM A TOUT COMPRIS

 

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Journal d’un buté de campagne (2)

Des permanences illuminées, des insultes gratinées, le bonjour d’Antoine, le trou récurrent du BO et encore et toujours les manœuvres de Mimi-La-Malice.

APPRENDS TA VILLE ! – Avec un directeur de publication comme celui-là, Bisque, Bisque Basque ! ne serait pas très bien barré. Sur l’affiche annonçant fièrement sa première réunion publique au Colisée, Michel Veunac se proclame « Directeur de publication ». Las, le candidat montre qu’il ne relit rien puisqu’il ne connaît visiblement pas sa Ville et situe le Colisée avenue Saraste et non Sarasate. Il n’y avait sur cette affiche que cinquante mots à vérifier et même cela l’apprenti Veunac n’a pas su le faire correctement. Voilà qui rassure pour l’avenirLIRE LA SUITE

 

Lâchez-vous, c’est la fête !

RamDam 64 40 organise jeudi 30 janvier sa troisième cérémonie des klaxons. L’occasion ou jamais de venir ovationner nos élus les plus méritants.

Ils sont neuf élus en ce moment à vivre des pannes récurrentes d’oreiller. Il est vrai qu’obtenir un klaxon d’or, d’argent ou de béton à quelques semaines des élections municipales n’est pas du meilleur effet auprès des électeurs. Pourtant la situation est beaucoup plus limpide et la concurrence moins rude qu’il y a un an. Est-ce l’effet RamDam 64-40, avec des politiques qui se méfient désormais, ou le fait d’arriver en année électorale, année toujours propice aux élans de vertu, qui nous a amené à raccourcir notre liste des élus « méritants » ?LIRE LA SUITE

 

LE DOCTEUR OUALAM NE SUPPORTE PLUS LES VIEUX

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Journal d’un buté de campagne (1)

Le programme électoral de Bisque, Bisque, Basque ! est simple. Faire comprendre aux Biarrots que Michel Veunac est le pire maire de l’histoire de la Ville.

Vous en avez marre d’entendre dans cette campagne électorale mugir ces féroces candidats qui viennent jusque dans nos bras pour nous vendre leurs combats. ? Chaque lundi jusqu’au 23 mars, lendemain de l’élection du nouveau maire de Biarritz, Bisque, Bisque, Basque ! va vous offrir sa récolte d’échos insolites.

DÉMENTIS.- Il fallait une certaine audace pour imaginer Laurent Riberolles et Corine Martineau tracter main dans la main. Sur la foi d’un écho paru dans Sud OuestLIRE LA SUITE

 

Biarritz lave plus vert

Les deux seuls militants EELV de Biarritz ont décidé de quitter leur parti. Juste au moment où Marine Batiste adhère.

Habituelle surenchère des publicitaires, nous avons connu la lessive qui lave « plus blanc » et même, immortalisée par Coluche, la lessive qui lave « plus blanc que blanc ». À Biarritz, la fièvre environnementale semble s’être emparée de toutes les listes qui la jouent « plus verte que verte ». Mais certains chiffres ramènent à la raison. En 2019, Europe Écologie Les Verts (EELV) ne comptait à Biarritz que… deux militants à jour de cotisationLIRE LA SUITE

 

LE LOGEMENT SOCIAL À BIARRITZ PRÉOCCUPE LE DOCTEUR OUALAM

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Un Didier Guillaume très convenu

Le ministre de l’Agriculture s’est livré à un prêchi-prêcha électoral fort prévisible avec la volonté affirmée de ne surtout fâcher personne.

La déclaration de candidature d’un homme politique est au journalisme ce que la leçon de mathématiques est au cancre. Un moment qui pourrait être d’un ennui mortel si le paysage derrière la fenêtre ne venait sauver le mauvais élève et la succulente comédie humaine qui se déroule dans ces occasions divertir le porteur de stylo. Foule des grands jours, samedi matin, dans le hall du jai-aläï d’Aguilera, à l’occasion de la conférence de presseLIRE LA SUITE

 

Et on attaque quand ?

Si les trois écuries Arostéguy, Barucq, Motsch semblent en place, pour les autres le flou est encore de rigueur.

Comme si cela manquait à notre bonheur, une nouvelle liste vient d’éclore si l’on en croit Sud Ouest du 7 janvier. Mené par l’enfant de Saint-Charles Karim Guerdane, elle s’intitule Biarritz Bonheur par allusion à l’heureux temps où les Biarrots pouvaient faire leurs courses quotidiennes dans le grand magasin de la Place Clemenceau, devenu depuis les snobinardes Galeries Lafayette. Joli nom pour une liste électorale, même si on peut se demander si ajouter de la confusion à la confusion ne fait pas au finalLIRE LA SUITE

 

EN 2020, LE DOCTEUR OUALAM PASSE LA SURMULTIPLIÉE

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LE DOCTEUR OUALAM VOUS SOUHAITE UNE BONNE ANNÉE

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Max Brisson : « Biarritz est la risée du département »

Le sénateur a envisagé un moment d’être lui-même candidat. Mais il ne veut pas rajouter de la confusion à la confusion et estime que « plus le temps passe plus cette volonté s’émousse ».

Ironie de l’histoire ou sentiment que la page est définitivement tournée ?  C’est au « Café de Paris » que Max Brisson me propose de partager un verre, à l’endroit même où nous avions dîné six ans plus tôt, en compagnie de Jean-Philippe Ségot. Et à l’époque aucun de nous trois n’imaginait que Michel Veunac pouvait un jour devenir maire. Cette élection de 2014 est toujours étudiéeLIRE LA SUITE

 

LE DOCTEUR OUALAM REVISITE NOËL

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Consternation la plus totale

Biarritz est-elle la ville la plus mal dirigée de France ? On peut se poser la question après le désolant conseil municipal du 19 décembre.

Du maire rural mal dégrossi, du conseiller municipal qui n’a toujours pas compris quel est son rôle, de l’arriviste prêt à tuer sa mère pour sa survie politique, ils ont dû en croiser lors de leurs respectives carrières politiques, mais parions que Didier Guillaume et Jean-Baptiste Lemoyne, lorsqu’ils se sont isolés chacun de leur côté pour suivre sur Internet le dernier conseil municipal biarrot, ont dû laisser échapper quelques soupirs de désolation et se demander pourquoi ils se sont embarqués dans une galère électorale qui ne s’annonce vraiment pas comme une croisière de rêveLIRE LA SUITE

 

Schneck et Motsch donnent l’exemple

Enfin un peu de bon sens dans ce monde de brutes avec une alliance entre deux candidats préoccupés d’éthique !

Dans mon village natal, lorsque deux enfants d’une fratrie se chacaillaient, il y avait toujours un adulte pour se tourner vers le plus âgé des belligérants en affirmant : « Tu es le plus grand, tu dois être le plus raisonnable ». Propos qui avait le don d’agacer l’aîné que j’étais. J’ignore si Jacques-André SchneckLIRE LA SUITE

 

LE DOCTEUR OUALAM SE MOQUE OUVERTEMENT DE BBB ! 

La volée de bois vert reçue par Bisque, Bisque, Basque ! pour avoir osé dire (de façon un peu crue, certes) que la candidature de Didier Guillaume changeait la donne, a visiblement enchanté le sarcastique Docteur Oualam… Qui  prend un malin plaisir à en rajouter une couche.

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« Quelqu’un de chez nous »

La candidature du ministre de l’Agriculture fait enrager tous ceux qui ne voient pas plus loin que leur chauvinisme.

Sauf à avoir vécu depuis le jour de sa naissance dans son village natal, on a tous pratiqué le parachutisme à un moment ou l’autre de son existence que ce soit pour des raisons scolaires, professionnelles ou électorales. Merci donc a tous ceux qui m’ont copieusement insulté après la publication de « Guillaume pose ses couilles sur la table » avec des attaques qui volaient parfois… en dessous de la ceinture. Je leur dois un délicieux dimanche, tellement leur colère et la faiblesse de leur argumentation m’ont fait rire et rappelé ces matches de rugby disputés en terre adverse où le public me sifflait pour quelques marrons distribués et sublimait complètement le joueur médiocre que j’étais... LIRE LA SUITE

 

LE DOCTEUR OUALAM A FINI D’HIBERNER

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Guillaume pose ses couilles sur la table

En annonçant sa candidature, le ministre de l’Agriculture fait sacrément bouger les lignes de la future élection municipale.

Quand votre maison est en feu, vous ne vous préoccupez pas de savoir si votre sauveteur est basque, béarnais ou drômois d’origine. On reproche trop souvent aux politiques de gérer leur carrière comme des petits boutiquiers pour ne pas saluer le panache avec lequel le ministre de l’Agriculture Didier Guillaume vient d’annoncer qu’il serait candidat aux prochaines élections municipales, précisant même... LIRE LA SUITE

 

Veunac fait du vieux avec du vieux

 Malgré la présence de Jean-Baptiste Lemoyne, bien planqué derrière Veunac, la liste du maire sortant est consternante et montre à quel point le vide s’est fait autour de lui.

«  La politique est l’art d’arriver par n’importe quel moyen  à une fin dont on ne se vante pas » disait Jules Romain. Pendant tout leur mandat, vous ne les avez jamais entendus, au mieux juste vus opiner du bonnet quand leur seigneur et maître  à écharpe tricolore énonçait une de ses platitudes dont il a le secret. Il est donc normal qu’ils se représentent pour obtenir une nouvelle chance au suffrage. Michel Veunac nous avait annoncé une liste où l’on allait voir ce qu’on allait voir. On voit et on est édifié... LIRE LA SUITE

 

Les malices élyséennes de La Semaine

 Ce n’est pas par hasard qu’un dithyrambe de deux pages vient de paraître dans  La Semaine. Le soldat Veunac avait rendez-vous jeudi à Paris et il fallait faire croire qu’il comptait encore quelques soutiens.

Ce n’est pas à un vieux chef d’orchestre comme Michel Veunac qu’on va apprendre à jouer de la musique ! Si Mimi-la-Malice se représente aux prochaines élections municipales, vous êtes priés de croire que c’est uniquement parce qu’il n’a pas fini sa tâche et que ses amis le poussent à poursuivre. Ce n’est pas par goût du pouvoir, des honneurs et des subsides qui vont avec, qu’un homme comme lui enchaînerait un deuxième mandat... LIRE LA SUITE

 

 

Décidément, tout le monde en pince pour Didier Guillaume

Un mail « secret » de Serge Istèque nous apprend que ce sont maintenant les élus abertzale Poueyts et Daguerre qui se désolidarisent de Veunac pour faire du gringue au ministre de l’Agriculture.

Ourdir des plans secrets et se faire gauler comme un débutant à cause d’une simple erreur d’adressage mail ! C’est la mésaventure qui vient d’arriver à notre sémillant Serge Istèque. Le président de l’association des commerçants Biarritz les Halles, mais aussi président de l’Office de commerce et de l’artisanat de Biarritz et président de l’association Biarritz années folles, devrait observer une stricte neutralité politique compte tenu de ses fonctions. On va voir que ce n’est pas tout à fait le cas et qu’il peut... LIRE LA SUITE

 

La gauche si gauche de Haye. La droite si maladroite de Brisson

C’est bien connu, en période électorale, les bonnes paroles n’engagent que les imbéciles qui y croient.

L’époque étant à la grandiloquence et aux contre-vérités absolues prononcées avec le culot qui convient aux périodes préélectorales, nous ne saurions trop conseiller à tous les passionnés de la vie publique biarrote d’équiper jusqu’en mars leurs sièges de ceintures de sécurité afn d’éviter de choir par surprise en lisant leurs journaux favoris. Prenez par exemple Jean-Baptiste Lemoyne, ce secrétaire d’État au Tourisme qui n’est connu que de sa concierge et de la sénatrice Frédérique Espagnac mais qui se découvre une passion soudaine pour Biarritz... LIRE LA SUITE

 

Saint-Cricq, toute honte bue…

 Inconscience totale ou billard à douze bandes, l’avocat biarrot, malgré le mandat controversé qu’il vient d’accomplir, se déclare candidat.

Les livres d’histoire sont formels : quand Jésus, suite aux ennuis que vous connaissez, a dû abandonner la présidence du parti démocrate chrétien, son copain Judas s’est contenté de raser les murs et ne s’est pas porté candidat pour lui succéder.Vingt et un siècles plus tard, même si la trahison n’est plus ce qu’elle était chez les bons apôtres, les hommes restent toujours autant pétris de contradiction. Prenez par exemple l’avocat Saint-Cricq. Une décennie d’opposition admirable à Borotra puis à Veunac, un combat dantesque contre la Cité de l’Océan, un solide bon sens... LIRE LA SUITE

 

La triple angoisse de l’électeur biarrot

Globalement décevantes, les réunions publiques des futurs candidats se contentent souvent de vagues promesses à propos des trottoirs délabrés ou des navettes. Alors que trois grandes questions se posent.

Les réunions publiques de précampagne électorale ont ceci en commun avec les réunions de famille qu’on y évite soigneusement les sujets qui fâchent et qu’on se contente le plus souvent de deviser sur l’accessoire. Bisque, Bisque, Basque ! s’efforce d’assister aux déclarations de candidature et aux premiers rassemblements de tous ceux qui visent la mairie en 2020. Tandis que Michel Veunac se réfugie dans son splendide isolement, candidat déclaré bien incapable de dire avec qui il va partirLIRE LA SUITE

Bas les masques chez Bisque, Bisque, Basque !

Campagne électorale oblige, les faux comptes et les faux nez se multiplient et empêchent tout débat citoyen. Dehors les trolls !

Qu’allez-vous dire si quelqu’un rentre chez vous à l’improviste, traverse sans dire bonjour votre salon où vous devisez avec des amis, avant de s’installer dans les toilettes, de claquer la porte et de se mettre à gueuler en découvrant qu’il n’y a pas de papier ? C’est parfois ce que j’ai l’impression de vivre avec Bisque, Bisque, Basque ! où de parfaits anonymes s’invitent dans les débats, bien planqués dans leur réduit, en invectivant tous ceux qui leur déplaisentLIRE LA SUITE

 

Ce ticket Arostéguy-Brisson qui change la donne

Tandis que LaRem cherche à débrancher Veunac, estimant qu’il n’a plus de soutiens crédibles, Max Brisson prend tout le monde à contre-pied avec un ralliement probable à Maïder.

Cet homme aime être là où on ne l’attend pas. Quand il annonce qu’il ne peut assister au conseil municipal, bloqué qu’il est par la neige du côté d’Albi, il est probable que vous le retrouverez à Bayonne en train de préparer une élection départementale. Comme vous adorez les histoires d’arroseur-arrosé, et ratez rarement Les Feux de l’Amour, BBB va se faire un plaisir de vous raconter comment Michel Veunac et Max Brisson se sont livrés à un sacré marivaudage tout l’été, qui semble sur le point de se terminer avec l’arrivée surprise du sénateurLIRE LA SUITE

 

 

LE DOCTEUR OUALAM TIRE DANS LE TAS

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RamDam 64-40 est décidément tout terrain

La réunion publique de l’association citoyennes a été l’occasion d’échanges passionnants et d’une parole très apaisée entre élus et citoyens.

Et dire que ce nouveau-né prometteur a tout juste vingt-deux mois ! À RamDam, ce n’est pas parce qu’on marche à peine qu’on a peur de la difficulté : faire une réunion publique un jour de pluie basque, dans un lieu bayonnais peu connu du grand public (beaucoup se sont perdus du côté de l’université !) et pendant les vacances scolaires, c’est faire le pari d’une salle vide. Merveilleuse surprise, plus de soixante-dix personnes avaient pris placeLIRE LA SUITE

 

Déclaration de candidature pour Les Nuls

Vous pensez à la mairie de Biarritz tous les matins en vous rasant ou en vous épilant ? Bisque, Bisque, Basque ! va vous aider à vous déclarer.

Il est évident qu’avec sept candidats officiellement déclarés (Arosteguy, Barucq, Batiste, Menou, Motsch, Schneck, Veunac) et trois autres listes probables (une abertzale, une de gauche, une de Rassemblement National) le choix électoral est un peu restreint à Biarritz. Vous avez encore largement l’espace politique pour vous présenter. Le souci récurrent que vous rencontrez chaque matin dans votre salle de bainsLIRE LA SUITE

LE DOCTEUR OUALAM SE BIOMIMÉTISE

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Plus que jamais le moment de se faire entendre

RamDam 64-40 organise la plus importante réunion publique de sa (courte) existence le 24 octobre à Bayonne.

Tous ou presque sont en train de devenir fous dans la perspective des élections municipales, mais les vieilles canailles de RamDam 64-40 ne vont pas pour autant baisser pavillon ! Au contraire, en ces périodes d’élection, les candidats ont les oreilles qui s’allongent et ils deviennent soudain aptes à écouter. Il convient donc d’en profiter, même si nous éprouvons quelque compassion pour ces têtes de liste potentielles, déclarées ou semi-déclarées, qui sont tellement nombreuses dans des villes comme BiarritzLIRE LA SUITE

 

 

LE DOCTEUR OUALAM ESPIONNE VEUNAC

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Quadras en quête d’ère pure

C’est jeune et ça ose tout : « Quand on veut incarner la rupture, il faut une méthode différente » affirme à la presse le « simple porte-parole » François-Xavier Menou. Autour de lui, cinq trentenaires et quadragénaires qui composent la liste « Changer d’ère », presque tous anciens membres de « Biarritz 2.0 »LIRE LA SUITE

LE DOCTEUR OUALAM FASCINÉ PAR LA CANDIDATURE VEUNAC (13)

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Une candidature tellement évidente

Farfelus candidats de l’opposition, blogueurs à la petite semaine, râleurs en tous genres, passez votre chemin et allez ronchonner dans votre coin. La prochaine élection municipale se joue désormais dans la cour des grands. Sans surprise Michel Veunac a annoncé ce matin qu’il se présentait pour un prochain mandat. Une candidature attendue avec soulagement par les Biarrots et qui va transformer en simple formalité l’élection du 15 mars 2020. En effet, il est évident qu’un maire sortant d’une telle qualité ne peut qu’être réélu triomphalement dès le premier tourLIRE LA SUITE

 

Le carnet de rugby d’un Angloy au Japon

De père anglais et de mère japonaise, Max Tomlinson a pu assister aux premiers matches de la Coupe du monde de rugby.

C’est dans l’avion me transportant de Hong Kong à Tokyo après une petite escale de trois heures, que je réalise que la « rugbymania » va bientôt déferler sur le Japon. Non loin de moi se trouve un homme vêtu d’un survêtement « Canada Rugby« , avec un gabarit plutôt imposant. Je reconnaîtrai son visage deux semaines plus tard en ouvrant par hasard un vieux numéro de L’ÉquipeLIRE LA SUITE

Y’ EN A POUR TOUT LE MONDE AVEC LE DOCTEUR OUALAM (12)

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Veunac louvoie et Motsch se met en ordre de bataille

Tandis que Veunac tente assez pathétiquement de faire monter les enchères, Nathalie Motsch effectue une déclaration de candidature très réussie.

Ce n’est plus un maire, ce n’est plus un probable futur candidat aux municipales de 2020, c’est juste un commissaire-priseur de seconde zone qui tente de faire monter les enchères autour de sa bien immodeste personne. Bisque, Bisque, Basque ! partage en effet tout à fait l’analyse de La Semaine du Pays basque (28/9) estimant que la candidature de Michel Veunac est suspendue à un feu vert de l’Élysée, avec un Emmanuel Macron pas très enthousiaste à l’idée d’un Mimi-la-Malice portant les couleurs de LRMLIRE LA SUITE

 

LE DOCTEUR OUALAM SUCCOMBE À LA NOSTALGIE (11)

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Les sous-doués sont de sortie

Incompétences multiples, dissimulations avérées, attentats démocratiques à répétition, la garde rapprochée de Veunac, avec ses nouveaux ralliés, est affligeante.

Une fois de plus, le dernier conseil municipal (4h30, tout de même !) aura été accablant, avec son collier de perles, de dissimulations délibérées et de tricheries démocratiques. S’il existe encore un Biarrot qui envisage de reconduire la majorité en place en 2020, nous ne saurions trop lui conseiller d’écouter attentivement l’ensemble du conseil pour se convaincre qu’il fait fausse route. Pour les autres, Bisque, Bisque, Basque ! s’est contenté de vous signaler les grands moments de cette désolante soirée...LIRE LA SUITE

LE DOCTEUR OUALAM EST DÉCHAÎNÉ (10)

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Un Le Gall magistral

Jean Le Gall est du style à arriver sur le Titanic en passager cravaté comme un milord, et, au moment où le bateau sombre, à prendre place dans l’orchestre pour être certain de jouer la dernière note émise par le paquebot. Si « L’île introuvable » est en apparence le roman du triangle amoureux, avec un écrivain raté Olivier Ravanec, une forte femme éditrice Dominique Bremmer, et un truand somptueux Vincent Zaid qui va être visité en prison par la grâce et la littérature, c’est aussi le récit haletant de l’agonie de l’écrit, celui des marchands triomphant des créateurs...LIRE LA SUITE

 

LE DOCTEUR OUALAM SORT LA SULFATEUSE À CANDIDATS (9)

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La Ville plutôt que vos nombrils

Gros malaise face à la multiplication de candidatures qui semblent relever de l’aventure personnelle et de la volonté de monter une petite boutique électorale à vendre au plus offrant.

Si vous êtes un citoyen ou une citoyenne en manque de câlins ces derniers temps à Biarritz, Bisque, Bisque, Basque ! a un truc infaillible pour vous. Descendez dans le centre-ville avec un panneau accroché autour du cou : « Prêt à être sur une liste. Place indifférente ». Vous n’allez pas patienter une minute avant que quelqu’un ne vienne vous cajoler, vous encenser et vous affirmer que vous êtes exactement la personne qu’il recherche. Vous êtes stupide, raciste ou homophobe...LIRE LA SUITE

LE DOCTEUR OUALAM NE DÉSARME PAS (8)

 

 

 

« Grâce à mon action, des affaires ont été médiatisées »

Il n’y a que Jean-Philippe Ségot pour vous interroger sur vos tee-shirts improbables. Entretien publié dans La Semaine du Pays basque du 6 septembre 2019.

– On pourrait dire que cela a été une mauvaise saison pour vous. Dans l’été, il y a eu un G7 que vous annonciez calamiteux en matière de sécurité et qui s’est déroulé d’une façon assez remarquable, Didier Borotra a été relaxé en appel après un procès très médiatisé, et Michel Veunac semble avoir des chiffres relativement favorables, dans le sondage effectué en juillet, pour être réélu maire de Biarritz s’il se représente… Mauvaise saison si on veut… J’ai été effectivement assez agacé de voir que Didier Borotra LIRE LA SUITE

ON N’ARRÊTE PLUS LE DOCTEUR OUALAM (7)

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LE DOCTEUR OUALAM NE DÉSARME PAS (6)

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Ligne éditoriale et pignes électorales

Soyons clairs : Bisque, Bisque, Basque ! ne roule pour personne mais suit avec intérêt les candidats susceptibles de faire tomber l’équipe en place.

Il se trouvera toujours quelques lecteurs du « Dictionnaire des idées reçues » de Flaubert pour estimer qu’un blog gratuit et citoyen, ouvert il y a 7 ans et qui a reçu plus de 10 millions de visiteurs, ne peut que cacher un noir dessein électoral, un intérêt personnel ou une volonté de rouler pour tel candidat. Bisque, Bisque, Basque ! laissera ces Bouvard et Pécuchet modernes... LIRE LA SUITE

L’HUMEUR DU DOCTEUR OUALAM (5)

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Le clan Veunac a bien tort de plastronner

Le G7 s’est mieux passé que prévu. Mais de là à imaginer Veunac en maire réélu…

On a tous connu ce genre de week-end improbable où l’on se retrouve invité pour trois jours chez des gens qu’on connaît peu. La bouffe est médiocre, les hôtes stupides, le décor kitsch à souhait, mais au moment de prendre congé, avec une belle hypocrisie, on dit merci et on promet de se revoir. Bien entendu, on n’en pense pas un mot et c’est avec soulagement que l’on prend congé définitif. Lundi soir, les lampions du G7 étaient à peine éteints, que les fidèles de Veunac (Ils sont rares, mais il en existe), pavoisaient à qui mieux mieux : « Avec un tel G7, plus rien ne s’oppose à ce que Michel soit réélu triomphalement en mars 2020 ». Les mêmes... LIRE LA SUITE

 

L’HUMEUR DU DOCTEUR OUALAM (4)

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Selon que vous serez ancien maire ou gilet jaune…

Didier Borotra a été relaxé par la Cour d’appel de Pau. Sa fille Sophie et l’ancienne directrice de la Cité de l’Océan Françoise Pautrizel aussi.

L’histoire est toujours écrite par les vainqueurs. La relaxe de Didier Borotra, de sa fille Sophie et de l’ancienne directrice de la Cité de l’Océan Françoise Pautrizel prononcée par la Cour d’appel de Pau jeudi dernier, deux ans après le jugement similaire du tribunal correctionnel de Bayonne, lave donc de tout soupçon de prise illégale... LIRE LA SUITE

 

L’HUMEUR DU DOCTEUR OUALAM (3)

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Les manants et les dominants

Chronique d’une ville assiégée.

Ah ils peuvent être amers les gilets jaunes, les demandeurs d’emploi et tous les salariés français à qui on explique benoîtement qu’il est impossible de les augmenter, devant la gabegie de moyens mise en place à l’occasion de ce G7, aussi inutile que les précédents. Sans un mot pour le maire de Biarritz, ce qui a bien fait rire les locaux, Emmanuel Macron, lors de son allocution aux Français samedi à 13 heures, a remercié le Pays basque pour son accueil malgré « quelques désagréments ». C’est bien la moindre des choses ce merci du bout des lèvres quand on n’a pour sa part aucun désagrément, qu’on pète dans la soie pendant trois jours et qu’une bonne partie des frais engagés par la Ville de Biarritz... LIRE LA SUITE

 

L’HUMEUR DU DOCTEUR OUALAM (2)

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L’HUMEUR DU DOCTEUR OUALAM (1)

Spécialiste de la fission nucléaire mais aussi grand maladroit risquant à tout moment d’échapper la bombe sur laquelle il travaille, au grand dam de ses collègues, le docteur Oualam a décidé de se reconvertir et d’adresser régulièrement à Bisque, Bisque, Basque! sa vision de l’actualité. Attention, même avec un simple crayon, il reste explosif !

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Chronique d’un Biarrot assiégé mais pas désespéré

Face à la guignolade mondiale qui se prépare, mieux vaut rire que pleurer.

Du poulet sur-vitaminé, du poulet bien imbibé, du poulet bodybuildé, j’en aurais croisé dans ma carrière, de mes lancers de pavés soixante-huitards à mes années « Canard ». L’honnêteté m’oblige aussi à reconnaître que j’ai aussi côtoyé du poulet passionné, du poulet profondément républicain et du poulet désespéré par l’incurie de l’État, même si... LIRE LA SUITE

 

Veunac et la malédiction des deux Didier

Chacun de leur côté, Didier Borotra comme Didier Guillaume semblent bien décidés à obtenir les deux oreilles de Veunac au final de la corrida municipale de 2020.

Si Didier Guillaume, ministre de l’Agriculture en charge de la protection animale, n’a pas eu l’idée du siècle en s’affichant aux arènes de Bayonne, l’association des Citoyens-habitués-à-se-faire-mener-en-bateau-par-les-politiques va néanmoins pouvoir lui décerner une couronne de lauriers qui sera du plus bel effet sur son beau front dégarni. En effet, en annonçant avec de plus en plus d’insistance qu’il envisage de devenir maire de Biarritz, notre parachuté ministériel a obligé notre Mimi-la-Malice-rien-qu’à-nous-et-qu’on-ne-rêve-pas-de-le-garder à brûler ses vaisseaux... LIRE LA SUITE

 

Destizon s’agace à son tour

 « J’ai fait tout ce que je pouvais pour faire cesser les travaux du château Boulart » affirme l’adjoint à l’Urbanisme qui sort de sa réserve pour « Mediabask ».

Surtout ne demandez pas à Christian Brocas s’il a le temps d’aller à la plage. Le sémillant président de l’association Biarritz Iraty est un homme très occupé en ce moment. En effet, dès qu’il aura fini d’étudier mon patrimoine, Brocas devra s’intéresser à celui de Patrick Destizon, l’adjoint à l’Urbanisme, qui semble penser beaucoup de mal de Pierre Delalonde et nous en raconte de bien belles à propos du château Boulart et de la villa Sion dans Mediabask. À l’en croire, la Ville aurait interpellé à plusieurs reprises le propriétaire du château Boulart sur des travaux réalisés sans permis de construire ni autorisation... LIRE LA SUITE

Et maintenant les menaces…

 Débattre lucidement entre citoyens amoureux de la Ville reste visiblement trop compliqué pour certains.

Christian Brocas, le président de l’association Biarritz Iraty, est un homme affable, même s’il est du genre à mentionner son brevet de cinquante mètres nage libre sur sa carte de visite et à se considérer autorisé de ce fait à donner des conseils de pilotage à un sous-marinier. Ancien directeur d’agence de la banque Worms... LIRE LA SUITE

 

Conflit BO – Journalistes : la mairie doit siffler la fin de la récré

 Subventionné en partie par la Ville, le BO ne peut pas se permettre de se lancer dans des actions qui nuisent à l’image de Biarritz.

Un immense sentiment de lassitude prévaut désormais chez les amoureux du B0 qui ont envie de vivre du beau rugby et non des conflits permanents. Alors que le cycle des matches amicaux n’est pas encore terminé, Jean-Baptiste Aldigé, après la distribution des casquettes « Make Journalism honest again » la saison passée, se lance dans une nouvelle provocation en fermant la tribune de presse et en invitant les journalistes à payer leurs places lors du match amical de ce soir BO-UBB. Depuis un an... LIRE LA SUITE

 

Élus ordinaires d’une ville ordinaire…

Le G7 nous prouve une fois de plus que la majorité ne marche vraiment pas au super (Chronique publiée dans Mediabask, le 8 août).

Quand vous les croisez, ils vous expliquent qu’ils ont accepté un mandat par passion de la vie publique et sens exacerbé de l’intérêt général. Et si d’aventure, ils se représentent en 2020, c’est bien entendu parce qu’ils ont cédé à la pression affectueuse de leurs amis et non parce qu’ils y trouvent leur compte. Imaginons maintenant une ville de la côte basque sur le point d’accueillir un grand sommet international. Le débat n’est pas de savoir si l’initiative est judicieuse ou non, même s’il y aurait beaucoup à dire sur le sujet. Mais dans une ville ordinaire, avec des élus ordinaires... LIRE LA SUITE

 

Jacques-André Schneck : « L’éthique avant tout »

Le premier candidat déclaré à la mairie de Biarritz est persuadé que la relation incestueuse entre argent et politique est la cause de bien des maux. Élu, il refusera la moindre indemnité.

Il est des signes qui ne trompent pas. Sur la table du salon, les piles de tracts « Biarritz on t’aime ! », dont la distribution a commencé dans les boîtes à lettres de Biarritz, montrent bien que Jacques-André Schneck est plus que jamais décidé à se présenter à la mairie de Biarritz. Depuis avril 2018, époque où il faisait « une offre aux Biarrots » par l’intermédiaire de ce blog, on a pourtant le sentiment que le projet... LIRE LA SUITE

 

Faut surtout pas se gêner avec la villa Sion !

Alors que rien n’a été voté par la municipalité, le propriétaire a déjà fait percer deux sorties à l’arrière du château Boulart, créant un accès sur la villa Sion qui semble illégal.

Les lecteurs de Bisque, Bisque, Basque ! ont l’œil et méritent d’être salués. Grâce à eux, une édifiante visite s’est déroulée hier matin dans les jardins de la villa Sion. Malgré l’avis défavorable de la commission de sécurité, interdisant d’accueillir au château Boulart du public faute d’un dégagement suffisant, les travaux d’aménagement se sont poursuivis tout l’hiver comme si son propriétaire, Pierre Delalonde, avait la certitude d’avoir gain de cause. Mieux encore, depuis quelques jours deux grandes ouvertures sont en train d’être construites sur l’arrière du château dans la partie donnant sur la villa Sion. Les piles en ciment sont érigées et le portail ne saurait tarder... LIRE LA SUITE

 

G7 : le grand bazar a déjà commencé

30 minutes d’attente au minimum pour les nigauds qui ont répondu dès aujourd’hui à la convocation de la sous-préfecture. Pour s’entendre dire que les badges des habitants de l’hyper centre ne sont pas prêts.

Il est bien évident qu’un 1er août, il est beaucoup plus agréable de faire la queue dans un centre style assurances maladie, hôpital ou agence pour l’emploi, avec retrait d’un ticket et longue attente de son numéro d’appel que de se déambuler au bord de l’océan. Bons citoyens, décidés à faire preuve de civisme malgré les folies de leur maire cautionnant un G7 en plein mois d’aôut à Biarritz, les Biarrots ont donc répondu en nombre à la convocation qu’ils avaient reçue par mail de la sous-préfecture de Bayonne. Sauf que cette convocation était une vaste blague qui n’augure pas bien de ce que nous allons endurer dans les semaines à venir... LIRE LA SUITE

 

Villa Sion : Et si on jouait franc-jeu ?

La municipalité veut faire une fleur à Pierre Delalonde pour mieux négocier les terrains qui lui appartiennent à Iraty. Est-ce inavouable ?

Ruser, biaiser, renarder, finasser, leurrer, bluffer, broder, contourner, feindre, falsifier, enjoliver, louvoyer, mentir par omission, tergiverser, tournicoter, prétexter, simuler, dissimuler, insinuer, arranger, contrefaire, duper, embobiner, enjôler, inventer, tromper, truquer, égarer, sont tellement devenus le pain quotidien depuis 2014 du duo Veunac-Lafite qu’il ne leur vient même plus à l’idée de dire la vérité aux Biarrots. Nous en avons encore un magnifique exemple avec la villa Sion, celle qu’Édouard Chazouillères a si joliment qualifié lors du dernier conseil municipal de « villa brouillon »... LIRE LA SUITE

 

C’est le festival Onda Cariocaisse !

Incapable de présenter à temps un budget prévisionnel pour l’édition 2019, le producteur de Vincent Cassel demande 200 000 euros à la Ville pour 2020 en évoquant « des frais d’annulation ». Par ici, la monnaie !

Avec l’abnégation d’un voyageur de commerce cherchant à fourguer une encyclopédie en cinquante volumes à un illettré, notre pauvre maire débordé, quand il se fait mettre dehors par la porte, revient par la fenêtre et si elle est close, n’hésite pas à forcer un vélux ou à passer par le soupirail de la cave. En l’absence du moindre document écrit, les élus avaient réussi... LIRE LA SUITE

 

À Biarritz, le curieux licenciement de deux des trois salariés Streeteo

Considérés comme d’excellents éléments en avril, Fabien et William viennent d’être virés en juillet. Parce qu’ils refusaient de verbaliser à tout va ?

Quadragénaire débonnaire, fort de huit ans d’expérience dans la sécurité, William Salles n’est pas près d’oublier son recrutement chez Streeteo Biarritz, début 2019. « Tout de suite, on m’a mis en garde contre Fabien, en me disant : « Méfie-toi de lui, il est membre de la France Insoumise, naturiste et bisexuel ». Ou comment habiller pour l’hiver un collègue… Le propos avait un tel relent d’homophobie que William... LIRE LA SUITE

 

Biarritz s’agite tous azimuts

Manif anti-G7, Veunac, Brisson, Lafite, Saint-Cricq, Arosteguy, la partie de billard à douze bandes est lancée dans la cité balnéaire.

Comme un homard géant négligé par des convives de l’hôtel de Lassay et livré en pâture au petit personnel, la préfecture avait fait l’aumône aux organisateurs d’une seule et unique manifestation anti-G7, samedi dernier, dans les rues de Biarritz. Première très bonne surprise, ce rassemblement organisé à une date difficile pour les mobilisations par G7 Ez ! et Alternatives G7 a regroupé un demi-millier de personnes. Une estimation qui n’émane ni de la CGT ni de source policière, mais basée sur l’observation... LIRE LA SUITE

 

Amis lecteurs, merci !

Interrogés par téléphone, des Biarrots ont eu le bon réflexe de noter les questions posées. S’agit-il  d’une enquête d’opinion à visée électorale payée par les contribuables ?

Les lecteurs de Bisque, Bisque, Basque ! sont décidément formidables. L’article « Les salades d’été de Mimi-la-Malice » était à peine publié que les messages affluaient. Si je n’ai pas eu la chance d’être interviewé pour dire tout le bien que je pense du duo Veunac-Lafite, de nombreux Biarrots ont été interrogés par téléphone et l’un d’entre eux a même eu le bon goût de prendre des notes pendant qu’on le démarchait téléphoniquement. C’est donc un questionnaire sans doute très proche de la réalité que vous avez entre les mains. Comme on le constatera, c’est uniquement l’avenir de Biarritz et nullement une médiocre préoccupation électorale qui anime le commanditaire de ce sondage. On connait... LIRE LA SUITE

 

Les salades d’été de Mimi-la-malice

L’été, avec l’arrivée des touristes, est l’époque idéale pour des plats du jour un peu approximatifs. Visite dans les arrière-cuisines municipales. 

Tous les maîtres-queux (regardez dans le dictionnaire avant de faire des interprétations hâtives !) vous le diront : quand un plat a du succès auprès du public, il ne faut surtout pas le supprimer de la carte. Il y a deux ans, Veunac avait tarabusté sa majorité pour la convaincre de s’offrir un petit sondage, histoire de mesurer la popularité de tel ou tel. Bien entendu, ce sondage « AB-SO-LU-MENT IN-DIS-PEN-SA-BLE ! » offert par les contribuables biarrots, n’était pas réalisé dans la perspective des élections municipales (Quelle vulgarité de croire cela !) mais pour... LIRE LA SUITE

 

« L’idée de repartir six ans avec Veunac est terrifiante »

Inéligible pour trois ans, François Amigorena a retrouvé une parole (encore plus) libre.  Attention, ça décoiffe !

François Amigorena n’est pas près d’oublier le 7 septembre 2018. Levé tôt comme à son habitude, le chef d’entreprise consulte ses mails et se réjouit de voir qu’il a enfin la réponse qu’il attendait du conseil constitutionnel. Quelques mois auparavant, alors que nous nous étions croisés dans la rue, il avait évoqué la jeune association de moralisation de la vie publique RamDam 64-40 et « une anecdote susceptible de l’intéresser ». Après quatre jours de campagne aux législatives avant de retirer sa candidature, François Amigorena avait été agréablement surpris de voir qu’on lui demande ses comptes de campagne : « Comme quoi l’État veille plus qu’on ne l’imagine sur l’argent versé aux... LIRE LA SUITE

 

Et la fin de l’histoire ?

Face à un journalisme de plus en plus désinvolte, le lecteur doit pousser un coup de gueule (Chronique publiée dans Mediabask, le 27 juin)

Il faut croire que désormais les écoles de journalistes n’envoient plus leurs étudiants en stages d’été dans des quotidiens régionaux mais en estive auprès de bergers pyrénéens qui leur inculquent le comportement moutonnier. Nous avons tous été émus par la noyade aux Sables-d’Olonne de trois sauveteurs en mer partis en pleine tempête à la recherche d’un marin pêcheur... LIRE LA SUITE

 

Pour la SNCF, les premiers sont les derniers

Quand une simple panne transforme un wagon de première classe en concentré d’inhumanité… Plongée pendant près de six heures dans un sketch des Deschiens.

Ne dites plus TGV, terme définitivement ringard, mais TGVQÇM, Train à Grande Vitesse Quand Ça Marche… C’est d’ailleurs pour cela que la SNCF qualifie ses TGV d’Inouï tellement on est surpris quand on arrive à l’heure. Mardi 27 juin, la SNCF, cette vieille dame qui était si ponctuelle quand elle était jeune, a réussi un Bordeaux-Biarritz en six heures, soit le temps que mettrait un cycliste à peine honorable pour relier les deux villes... LIRE LA SUITE

 

Un très vague « Biarritz nouvelle vague »

Le presque quasi-certain candidat Guillaume Barucq a présenté son mouvement citoyen « Biarritz nouvelle vague ». Mais a parfois eu du mal à surfer sur ses contradictions.

Allez, avouez-le, vous avez tous eu droit le jour de la fête des mères ou des pères à un collier de nouilles de votre chérubin préféré et vous vous êtes extasiés sur ce cadeau amoureusement confectionné, comme le veut la bienséance familiale. Sauf qu’à la quatorzième injonction de la chair de votre chair vous demandant si ce collier vous plaît et quand vous allez le porter, vous avez ressenti comme un léger découragement. Pour le lancement de son mouvement citoyen, « Biarritz Nouvelle vague »,  ... LIRE LA SUITE

 

Une épastrouillante affluence

Plus de 80 personnes étaient présentes à la réunion publique de RamDam 64-40 où Virginie Lannevère et Jean-Pierre Laflaquière ont été chaleureusement applaudis.

Difficile, en dehors d’un exposé sur la reproduction des crabes verts les soirs de pleine lune au rocher de la vierge, de faire plus dissuasif qu’un débat sur les Sociétés d’économie mixte, les sociétés publiques locales et les délégations de services publics ! Mais il faut croire que la démarche de RamDam 64-40 ... LIRE LA SUITE

 

Un jeudi en fanfare

La prochaine réunion publique de RamDam 64-40 promet : Virginie Lannevère a bien l’intention de dire tout ce qu’elle a sur le cœur. On va en apprendre des belles sur La Cité de l’Océan et L’Hôtel du Palais.

RamDam 64-40 ne se compose pas que de saltimbanques impertinents qui distribuent klaxons et harpes aux politiques nécessiteux. L’association compte aussi quelques géomètres rigoureux et passionnés de vie publique qui souhaitent évoquer avec vous les sujets que les élus préfèrent souvent garder pour eux. Qui pouvait-on trouver de mieux, le 20 juin prochain, que Virginie Lannevère, ancienne conseillère municipale... LIRE LA SUITE

 

Questions pour un fripon

Au niveau de l’ellipse, de la dissimulation et des demi-vérités, Veunac s’avère décidément un candidat imbattable. La preuve avec le dernier conseil municipal.

« Quand c’est flou, c’est qu’il y a un loup » affirmait la grand-mère de Martine Aubry. Ceux qui ont eu le courage d’assister jusqu’au bout au dernier conseil municipal, 3 h 46 tout de même, sont ressortis avec le sentiment de ne pas avoir été confrontés à un loup solitaire, mais à une meute innombrable, propre à donner des insomnies à n’importe quel berger pyrénéen. Avec un Veunac, visiblement gonflé à bloc par les résultats des européennes, rasé de près même s’il affirme ne pas penser tous les matins... LIRE LA SUITE

Chazouillères, belle gueule et ironie mordante

Courtois et pondéré, l’ancien adjoint au commerce manifeste beaucoup de talent pour les petites phrases et estime que « Veunac fait le mandat de trop ».

Le rendez-vous, pris au Royalty, tient un peu de retrouvailles entre adversaires de rugby qui partagent une bière après s’être sérieusement chamaillés pendant le match. En 2014, alors qu’il était le directeur de campagne de Michel Veunac, Édouard Chazouillères avait lancé, au détour d’une conversation « off » avec un journaliste, à propos de ceux qu’il pensait « monter une affaire » contre son candidat, « ils finiront, comme disait l’autre, sur un croc de boucher ». Déjà la dent dure ! Il reconnaît un propos malheureux, une envolée bravache... LIRE LA SUITE

Enfin des places gratuites pour les Biarrots !

Sur le parking de la Côte basque, trois places sont réservées aux « Acteurs économique » (Sic !) Comme si les Biarrots n’en étaient pas eux aussi…

Tous les dictionnaires consultés sont unanimes : un acteur économique est quelqu’un qui participe financièrement à la vie d’un pays, d’une ville ou d’une entreprise. Vous n’en aviez sans doute pas conscience, mais, si vous achetez chaque jour votre baguette de pain ou votre journal à Biarritz, vous êtes donc un acteur économique de cette ville. Une ville où la question du stationnement a l’art de susciter des crises d’urticaire chez les Biarrots.... LIRE LA SUITE

 

Les élucubrations de Delalonde

Dans la Semaine du Pays basque du 17 mai, le propriétaire du château Boulard explique que la villa Sion lui revient de droit. Bisque, Bisque, Basque ! se fait un plaisir de lui répondre.

Documents à l’appui, le grand ami du maire Pierre Delalonde qui, malgré ses promesses s’est bien gardé de répondre à Bisque, Bisque, Basque ! quand ce blog a évoqué les curieuses conditions de vente de la villa Sion, demande une tribune libre à La Semaine du Pays basque (17/5) pour donner son point de vue. Et là il évoque sans rire « l’ensemble architectural » construit en 1881, la villa et le parc cédés à la Ville pour un euro, avant de sortir l’arme suprême : ce grand philanthrope trouverait normal qu’on lui revende... LIRE LA SUITE

 

 

Chez les Borotra, on se fait des chèques mais on ne se parle pas

Le système de défense de Didier Borotra pour justifier l’engagement de sa fille à la Cité de l’Océan a paru bien fragile devant la Cour d’appel de Pau.

Comment reconnait-on quelqu’un qui sort du tribunal, lorsqu’on déambule dans les rues commerçantes de Pau ? À ses oreilles qui traînent par terre de fatigue après quatre heures d’audience ! Entre l’intention et l’action, on le sait, il y a parfois comme un léger décalage. Le maniement du micro, contrairement à la publicité des débats, n’est visiblement pas inscrit au programme des facultés de droit, ce qui est bien dommage. Si la présidente de la chambre d’appel de Pau, Anne Dufau, captant les signaux de désespoir des nombreux journalistes et membres de l’association RamDam 64-40 venus... LIRE LA SUITE

 

Élise triomphe en son jardin

Passionnée d’agriculture naturelle, Élise Tinel, est lauréate du budget participatif avec son « Permis de végétaliser sur le domaine public ».

Elle ne vit que depuis sept ans à Biarritz, autant dire qu’elle est stagiaire première année, et cumule les handicaps dans un Pays basque parfois très autocentré, puisqu’elle est Lorraine d’origine. Mais l’adage dit « ce que femme veut, Dieu le veut ! ». En proposant de mettre en place à Biarritz un « Permis de végétaliser sur le domaine public », Élise Tinel vient donc d’être désignée... LIRE LA SUITE

 

Tous adeptes du très sélect G7

Pour contrer les grincheux et soutenir les merveilleuses décisions de Michel Veunac, le « G7 fan club » n’a pas hésité à manifester dans les rues de Biarritz.

Heureusement qu’il existe des citoyens un peu plus réfléchis que les autres qui osent descendre dans la rue pour acclamer le G7 à venir, au moment même où une majorité de grincheux, disséminée dans tout le Pays basque, crie à la folie furieuse avec cette quarante-cinquième édition prévue du 24 au 26 août 2019. Posément, les militants de la plate-forme « G7 Ez ! », revêtus de leurs plus beaux atours et rassemblés samedi 11 mai sur l’esplanade du casino, expliquent aux passants la pluie de bienfaits qui va pleuvoir sur le Pays basque avec le G7 et saluent le côté visionnaire du grand timonier Veunac... LIRE LA SUITE

Honteux moqué contre honteux adulé

Quand Vincent Bru ne se souvient plus de son appartenance au MoDem, La Semaine se moque. Quand Veunac est dans le même cas, silence radio.

On le sait tous, la vie dans les rédactions n’est pas un long fleuve tranquille. Il suffit de feuilleter La Semaine du Pays basque du 10 mai pour vite ressentir comme un léger décalage rédactionnel entre la sémillante Marquise de Vérité et le propriétaire-directeur de la rédaction Jean-Philippe Ségot. L’impertinente Marquise dans sa désopilante rubrique hebdomadaire épingle cette fois-ci le député Vincent Bru et son goût immodéré pour les médias. Après une apparition remarquée aux côtés... LIRE LA SUITE

 

 

Biarritz joue à « Poubelle la vie »

Entre sauver la planète et sauver ses heures de repos, le choix est souvent vite fait dans une ville qui s’ingénie à compliquer la vie de ceux qui s’efforcent malgré tout de trier leurs déchets.

Si aucun Biarrot ne doute que le tri des indésirables va être parfaitement fait au moment du G7, quand les grands de ce monde viendront se baguenauder fin août dans une petite cité balnéaire lustrée comme un sou neuf, ces mêmes Biarrots savent que l’envers du décor n’est pas toujours tout à fait à la hauteur du petit périmètre doré. Comme toutes les villes côtières de la Côte basque, Biarritz rejette ses merdes au large quand les bassins... LIRE LA SUITE

 

Qui aurait un euro pour que Lafite mange à sa faim ?

Pique-assiette permanent de la vie publique, notre grand argentier n’arrive pas à concevoir qu’on puisse se passer de sa lumineuse présence lors d’un événement municipal.

On ne devrait pas rire de la pauvreté, mais l’anecdote contée par Sud Ouest, samedi 27 avril, en a fait ricaner plus d’un. Biarritz vient en effet de connaître un de ces drames de la misère comme on n’en souhaite à personne. Surfeur passionné même si, comme dirait Coluche, le dernier qui l’a vu à l’eau sur une planche n’est pas jeune, Guy Lafite se donne éperdument à la vie publique depuis des décennies. Et bien évidemment au vu de ses compétences, ce puits de science... LIRE LA SUITE

 

Réalisme biarrot contre foutaises brésiliennes

Ne pas confondre les 100 000 euros attribués au budget participatif, initiative remarquable, et les 100 000 à Onda Carioca, foutage de gueule absolu…

À Biarritz, on paie d’abord et on réfléchit ensuite. Comme une pie un peu snobinarde, attirée par tout ce qui brille, notre bon Michel Veunac s’est donc totalement laissé embobiner par Vincent Cassel et a estimé que la possibilité de pouvoir faire un selfie avec le célèbre acteur valait bien 100 000 euros d’argent public... LIRE LA SUITE

 

Le côté ouvert de Richard cœur d’Ovalion

Le journaliste de L’Équipe Richard Escot anime aussi le blog « Côté ouvert » où il partage sa passion du rugby avec ses lecteurs en ouvrant son carnet d’adresses.

Si la générosité est la qualité première du rugby, alors Richard Escot a tout d’un grand Monsieur de la planète ovale. Recruté en 1985 à L’Équipe, Richard a été le rayon de soleil d’une rédaction qui se cantonnait trop souvent à son sport favori sans chercher à savoir ce qui se passait ailleurs. Comme les autres, Richard était capable de parler du matin au soir de rugby, mais son côté ouvert à tout l’amenait aussi à s’intéresser à la littérature, à la peinture, à la vie publique. Pas étonnant que cet attaquant racé qui était l’animateur offensif du XV de la presse au poste de premier centre... LIRE LA SUITE

 

Veunac ne fait même plus semblant

Lors du dernier conseil, le maire de Biarritz a montré une fois de plus son mépris pour l’équipe municipale et le peu de cas qu’il fait de la démocratie. Le tout sous un air de samba.

Didier Borotra cultivait l’art de ne pas répondre lors des conseils municipaux, mais son fils spirituel, Michel Veunac, est en train de le surpasser. À chaque conseil municipal, Mimi-la-Malice inscrit un sujet brûlant sur lequel l’opposition va s’exciter – mercredi dernier, c’était la subvention de 150 000 euros pour le BO omnisports – laisse les snipers se déchaîner sans se départir de son sourire de gendre idéal, avant de conclure par un « Merci mon cher collègue » et d’enchaîner comme si de rien n’était. Une technique bien connue en politique que Jacques Chirac appelait « ça m’en touche une sans faire bouger l’autre »... LIRE LA SUITE

 

C’est le BO omnisports ou omnipertes ?

Encore un exploit du duo Veunac-Lafite qui n’a rien dit et met le conseil municipal devant le fait accompli en demandant le vote d’une subvention exceptionnelle de 150 000 euros.

Si Emmanuel Macron, lors du prochain remaniement, décide de créer un ministère de la cachotterie permanente, il va avoir deux prétendants solides avec le tandem Michel Veunac et Guy Lafite. Les deux élus sont au courant depuis fin 2018 de la situation catastrophique du BO omnisports, mais ils se sont bien gardés d’en parler à quiconque ou de faire ce pour quoi ils ont été élus, c’est-à-dire agir en commandant un audit LIRE LA SUITE

 

« Tu préfères papa ou maman ? »

Ras la casquette de devoir choisir entre deux passions qui ne sont nullement contradictoires : le rugby et la vie publique.

Mon père ne rêvait que plaies, bosses et scandales. Conscrit il avait remplacé le drapeau par deux litres de rouge lors d’une prise d’armes. Rugbyman, il avait montré ses fesses au public. Enseignant, sorti de sa classe l’inspecteur d’un vigoureux coup de pied au derrière. Ma mère ne souhaitait que le calme, la discrétion et la paix des ménages. Ce couple improbable qui aurait dû passer quinze minutes ensemble a mis quinze ans à divorcer. Mais ce que je garde de mon enfance (la diversité, ça forme et enrichit LIRE LA SUITE

 

Un monde avec des pommes rondes et des ballons ovales

Crise passagère ou durable pour le rugby à XV ? Edmond Lataillade, Jérôme Thion, Soso Puleoto, Richard Tardits, Robert Rabagny et Benoît Baratchart donnent leur avis mercredi prochain.

En 1974, un espèce d’allumé, agronome de profession, se présentait aux élections présidentielles en même temps que Chaban-Delmas, Giscard d’Estaing, Mitterrand, ou Laguillier. René Dumont se distinguait des autres candidats car il était le seul à se présenter devant les Français en pull… et avec une pomme sur le pupitre. Le rugby et la politique étaient déjà à cette époque là mes deux grandes passions. Tocard assumé, je remplaçais la qualité par la quantité, disputant parfois trois matches LIRE LA SUITE

 

Les jeux de l’amour et du bazar

Quinze mois seulement séparent ces deux vidéos, mais quelle différence de ton  entre Saint-Cricq et Veunac, désormais en plein marivaudage…

Le 20 décembre 2017, fait inhabituel, l’opposant Jean-Benoît Saint-Cricq se félicitait que les conseils municipaux, grâce à la vidéo, soient désormais accessibles à tous. Dirait-il la même chose aujourd’hui ? Ce n’est pas tout à fait sûr. Bisque, Bisque, Basque ! s’est donc amusé à comparer les vidéos de décembre 2017 (le premier conseil municipal d’après l’affaire des écuries de Bigueyrie) et le dernier conseil en date, celui du 26 mars LIRE LA SUITE

 

Nathalie Motsch garde la tête froide

Pas de triomphalisme, même si les faits montrent que l’ex-adjointe à l’Urbanisme avait raison sur Aguilera. La (presque) candidate pour 2020 veut avant tout jouer collectif.

L’entretien se déroule le vendredi 22 mars, au lendemain d’une réunion de majorité consacrée à Aguilera. La veille, le maire Michel Veunac et le directeur des services Christophe Landrin ont confirmé point par point ce que Nathalie Motsch affirme depuis le début, à savoir l’impossibilité légale de réaliser le projet tel qu’il est conçu. On s’attend donc à rencontrer Nathalie Motsch avec des petites ailes aux pieds après ce revirement et on est surpris par le sérieux et la gravité de la presque déclarée candidate.  LIRE LA SUITE

Un moment de grâce et de générosité

Le premier samedi de chaque mois, le restaurant « La table d’Aranda » organise un cours de cuisine qui est un pur bonheur.

Tous mes confrères le savent : le journalisme confine parfois à la stupidité. La passion de l’info va nous amener à divulguer à tous un bon plan qui devrait être réservé aux seuls proches. Sébastien de Conti, le sympathique patron de « La table d’Aranda » va me maudire, car le bouche à oreille lui suffit amplement, mais comment ne pas avoir envie de partager le moment délicieux que nous propose… LIRE LA SUITE

 

Il faut Aguileraison garder

Le projet d’aménagement d’Aguilera présenté par Aldigé est incontestablement séduisant. Aux politiques de nous dire maintenant s’il est juridiquement faisable et économiquement pertinent.

Cet ancien joueur du BO, génération Bouclier de Brennus, n’a pas perdu la verdeur habituelle des propos de vestiaire : « J’ai un avis très arrêté sur ce projet, mais je me garderai bien de l’exprimer publiquement par crainte de déclencher les ventilateurs à merde dans tous les sens ». Bisque, Bisque, Basque ! qui n’a pas peur de grand-chose va donc enfiler ses bottes d’égoutier pour tenter de vous décrypter la formidable partie de poker qui est en train de se dérouler… LIRE LA SUITE

 

Maïder Arosteguy veut empêcher un nouveau « mandat de désolation »

La conseillère départementale est persuadée que son bon sens et sa proximité avec les Biarrots vont faire d’elle la favorite de 2020 après le catastrophique intérim de Veunac.

La conversation qui se déroule au Royalty, le jour de la prise de fonctions de Pascal Ondarts, démarre par un énorme fou-rire : « Sérieusement, vous connaissez un seul Biarrot qui ne vous imagine pas candidate en 2020 ? ». Maïder Arosteguy ne peut s’empêcher de sourire. Elle sait bien qu’elle fait tout actuellement pour préparer la campagne des municipales de 2020 dans les meilleures conditions. « Malgré les apparences, ma décision n’est pas encore totalement prise. Dans l’hypothèse où je serais candidate… LIRE LA SUITE

 

Libérez le rugby !

Affrontements de mastodontes, accidents multiples, présidents qui se prennent pour des stars, chaînes payantes qui piétinent le monde amateur, le rugby français va dans le mur et semble incapable de changer de trajectoire.

Lorsque petit à petit nous avons dû abandonner à notre plus grand regret le rectangle de pelouse qui avait ensoleillé notre jeunesse pour nous contenter de la main courante, nous nous sommes souvent dit entre anciens joueurs, au vu des gabarits des nouveaux pratiquants, de l’évolution du jeu et des impacts « qu’un jour il y aurait des morts » dans notre sport favori, sans trop croire toutefois à ce que nous affirmions. Nous y voilà avec quatre pratiquants décédés cette saison en France sur des faits de jeu anodins en apparence. Tandis que la fédération française « patauge » allègrement, incapable de mettre en place… LIRE LA SUITE

 

Barucq a les clés du camion électoral

Seul élu à parler encore à tout le monde, le médecin biarrot est actuellement ardemment courtisé, en particulier par les candidates déjà déclarées.

Ce que c’est d’être devenu une star de sa ville ! Les cinq premières minutes de l’entretien sont compliquées. Guillaume Barucq s’est placé à un endroit stratégique d’où il surveille du coin de l’oeil son vélo, car il a oublié son antivol. Heureusement, le patron du « Bar du Polo » perçoit le manège et n’hésite pas. « Guillaume, à cette heure il n’y a pas grand monde. Rentrez donc votre vélo dans le bar ». Et c’est ainsi que le chantre de la circulation douce se retrouve à discuter avec « Bisque, Bisque, Basque ! », son vélo électrique bleu trônant dans la salle… LIRE LA SUITE

 

Mauvaise foi, désinformation et ligne jaune

Saint-Cricq rase les murs après ses maladroites accusations, Sud Ouest a la mémoire courte et la campagne électorale prend une vilaine tournure avec des faux grossiers.

Surtout n’alertez pas inutilement les services municipaux si vous êtes surpris de voir dans Biarritz ce qui ressemble à des épines de porc-épic fichées dans la muraille. Rien d’anormal, c’est juste Jean-Benoît Saint-Cricq qui à force de raser les murs finit par sérieusement écorner sa barbe. Il avait clamé sur tous les tons que l’incendiaire de sa maison ne pouvait être qu’un « allumé » qui lui en voulait politiquement. Au final, la pyromane était une ressortissante allemande, relevant de la psychiatrie et se moquant de la politique locale et des réseaux sociaux comme de son premier strudel aux pommes… LIRE LA SUITE

 

8 réflexions sur “Les derniers articles

  1. Monsieur le maire de Biarritz

    Nous nous sommes garé hier soir sur une place de notre quartier,
    et étonnamment cette nuit l’esprit de la mairie l’a transformé
    en place payante depuis hier jeudi.
    Et oui!! C’est la fête de Bibi!!
    Nous sommes Biarritz, et résidents du quartier Beaurivage.
    C’est une honte envers les Biarritz contribuables, alors que
    les petites rues du quartier mériteraient pour leur refections,
    L’argent utilisé pour la peinture utilisé pour les inscriptions  »PAYANTES » !!

    Vendredi, le 27 Avril 2018.
    Les habitants du quartier Beaurivage en colère!.

  2. Concernant le B.O ce que je constate c’est que depuis le départ de Marcel Martin qui gérait en bon père de famille, tout s’est dégradé rapidement tant au niveau sportif que financier. C’est devenu une véritable auberge espagnole avec des missiles qui pleuvent de partout émanant de la présidence qui dernièrement recherchait encore deux intendants « bénévoles «  ( ce terme est-il toujours d’actualité ?) pour son équipe espoir et croise le fer avec l’omnipotent journal Sud-Ouest ! Mais où sont les vrais Biarrots ?

  3. Concernant le refus de crédit pour l’hôtel du Palais …..je ne comprends pas bien les explications de votre article.
    En effet Maître Amigoréna précise dans son courrier au Maire que le refus est motivé par LE RECOURS qu’il a fait en septembre …ce qui laisse supposer que les Banques attendent la suite…d’ailleurs Maître Amigorena propose une réunions d’urgence avec le Maire pour apporter une solution.
    Cela ne veut donc pas dire comme semble le laisser entendre votre article que les Banques se retirent par crainte du risque financier.
    Il ne faut faire comme Mr Mélenchon …..qui transforme les vérités…
    Pour la clarté de tous les Biarrots et serait utile que tout soit ENFIN clair
    Merci

    • La vérité n’est jamais totale et absolue dès le premier article, surtout quand on s’efforce de mettre en lumière des faits que d’autres souhaitent dissimuler. Nous avons visiblement les mêmes informations avec François Amigorena, ou du moins des informations voisines. Lui pense que son recours au tribunal administratif pose problème aux banques, ce qui peut se concevoir, car il semble avoir de fortes chances de gagner. Pour ma part, j’ai tendance à croire que les récentes informations sur le pacte d’actionnaires et le business-plan peuvent aussi expliquer ce recul des banques. mais peut-être, au vu de ce dossier aussi bien monté, que nous avons raison tous les deux.

  4. Quand je pense qu’il existe le référendum populaire dans la constitution et que chaque Maire peut l’utiliser lors de grands débats je me dis que cette voie référendaire eût été salutaire et aurait impliqué tous les biarrots . Quel dommage de ne pas se servir des lois …

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